@philouie
C’était la « guerre des juifs », oui, pour reprendre le titre de l’oeuvre écrite par Flavius Josèphe à la fin du premier siècle. FLavius Josèphe était un peu un collabo, il avait trouvé son avantage à passer du côté des Romains, mais quand il parle du Temple de Jérusalem incendié en 70, il n’invente rien. Sa méthode d’historien n’est pas aussi rigoureuse qu’on pourrait le souhaiter aujourd’hui, mais en confrontant son texte à d’autres sources, on arrive quand même à se faire une idée assez exacte de ce que la situation pouvait être.
Il parle beaucoup des Juifs, des Romains qui sont les envahisseurs et se sont livrés à toute sorte d’exactions vraiment atroces. Les zélotes, en Judée, n’étaient pas du tout des « terroristes », pas plus en tout cas que le Colonel Fabien tirant sur l’occupant dès l’été 41 au métro Barbès. Ils défendaient leur patrie qu’ils souhaitaient déjà éternelle avec les moyens du bord., c’est tout.
Je ne me souviens pas que Flavius Josèphe parle beaucoup des « Palestiniens » au sens que ce terme a pu prendre après 1967. Et pour cause ! Ceux-là envahiront la région beaucoup plus tardivement, après la fin du VIIe siècle, et surtout dans le courant du XIXe siècle où la population musulmane se trouve multipliée par quatre. Ceux qu’on appelle aujourd’hui des « Palestiniens » sont donc, dans la région, des immigrés relativement récents et ce qu’il y a d’odieux, c’est qu’après avoir littéralement envahi ces terres au XIXe siècle (je ne parle pas des Bédouins ou des Druzes qui étaient là, eux, depuis des siècles, et ne menacent personne) nos « Palestiniens » n’auront pas du tout supporté l’arrivée des Juifs entre les deux guerres, lesquels étaient pourtant, et depuis plus de trois mille ans, les plus anciens occupants du pays. Rien à voir avec la politique de Madame Bismarck, par exemple, ouvrant généreusement, ces derniers mois, les frontières de l’Europe à toute l’immigration syrienne.
Bref, ceux qu’on appelle aujourd’hui les « Palestiniens » se seront comportés, sous la direction du sinistre mufti de Jérusalem ami de Heinrich Himmler (l’artisan de la solution finale) comme de véritables sagouins. Et ils continuent, ces éternels enfoirés, derniers héritiers, avec les mollahs iraniens qui soutiennent le Hamas, de l’idéologie génocidaire des nazis.