Complément :
Un
temps ministre de l’agriculture, il ne fera rien pour sauver
l’agriculture paysanne d’un productivisme encadré d’une main de fer par
un syndicat agricole nommé FN-SEA.
Les
chômeurs en fin de droits lui doivent, non pas un emploi, mais le RMI,
aujourd’hui le RSA... revenu minimum etc... etc... pour un homme
politique du minimum garanti. Les salariés eux, lui doivent une ponction
supplémentaire sur leur salaire - la CSG ; ponction étendue aux revenus
financiers pour toute consolation ; une CSG non déductible, s’il vous
plaît !
Et
c’est alors que les salariés seront imposés sur des revenus non perçus.
On pourra toujours penser que tous ont évité le pire : en effet, Rocard
aurait pu taxer les charges salariales car dès son arrivée à Matignon,
notre Premier ministre avait tout simplement compris ceci : il n’y a pas
d’avenir pour un gouvernement qui souhaite re-prendre et l’argent et le
pouvoir là où ils se trouvent. Il ne sera pas le dernier à le
comprendre. Loin s’en faut.
Démocrate mais pas trop - il était opposé à la proportionnelle -,
partisan de la décentralisation qui consacrera le règne des barons...