@olivier cabanel
Mais là où le gôôôchiste est aliéné par la pensée dominante sirupeuse de l’oligarchie multiethniqueuse crétinisante capitaliste c’est qu’il ignore volontairement l’infrastructure marxiste.
Il n’y a de communauté solidaire que par l’Histoire où la lutte (Hegel), c.a.d la transmission de la tradition, de souvenirs communs, de la communauté de mœurs et de croyances, où par l’adversité et un ennemi commun ’politique« (qui soude)
Or le Capital fait tout pour que le peuple disparaisse par la traite négrière et le Grand Remplacement et que l’ennemi soit intérieur, la guerre de tous contre tous, le concurrent prolétaire des divisions de réserve du prolétariat, le plombier polonais, où même le barbu à la kalach, le peuple des »Autres« . Et son seul commun est une bande de millionnaires en short qui n’on rien à foutre du peuple
Et le Capital fait tout pour que la promesse »démocratique« soit une égalité »matérielle« , c.a.d apolitique et acculturelle (le RU tient ds cette logique) ce qui veut dire RELATIVEMENT etindividualiste et non ORGANIQUEMENT et collectif (c.a.d dans une vision politique de communauté)
Et il a réussi.
De plus cette hiérarchie capitaliste veut le pouvoir, l’entre-soi, et peut se passer de l’apparence de cette hiérarchie des biens de consommation. Apparaître vertueuse dans son paradigme, donc se légitimer. (les fondation Bill Gates, le millionnaire qui va à la pêche aux migrants aussi). Là est le piège véritable, ce qu’avait très bien vu Nietzsche :
»Les travailleurs vivront un jour comme vivent aujourd’hui les bourgeois – mais au-dessus d’eux, se distinguant d’eux par une absence de besoins, se trouvera la caste supérieure : plus pauvre, plus simple, mais détentrice du pouvoir. "
’La Volonté de puissance’ Nietzsche