@franc
J’en suis resté à « la religion c’est l’opium du peuple »...Mais faut avouer que pour certains, l’islam c’est carrément le comprimé d’extasy mélangé avec de la poudre à lessive....Même les pires BD de mon enfance, et leur scénario apocalyptique, sur fond de grand maître du monde, ne parviennent pas à rejoindre cette sorte de réalité accablante. Toutes les religions ont souvent eu leur époque infernale, et l’homme les a souvent choisis pour fédérer ses troupes, leur donner un manuel d’instruction simple à comprendre pour les demeurés, et servant immédiatement à vous déculpabiliser, et même de faire de vous un saint , le combattant du prophète, du christ ou autre niaiserie difficile à expliquer aux enfants.
Mais on le sait, pour qu’un feu parte, ou pour qu’un simple petit virus, au début, anecdotique, ne se transformé en « grippe espagnole », il faut des conditions particulières. Nous y sommes en plein. La mondialisation a favorisé parfois les échanges au mieux, et parfois pour le pire. Ceci catalysé par l’ouverture des frontières, et l’émergence confuse d’une sorte de nouveau citoyen du monde, ouvert à toutes les influences. D’où ce patchwork difficile à saisir, pour les services de renseignements, qui ont affaire à tout un tas de mouvances, et autant à des individus autonomes, capables du pire. C’est que le psychopathe nouveau s’est banalisé, sur fond d’hédonisme et de perte de repère. « Voulant se la péter », au propre et au figuré.
40 ans à l’avance, vous avez un film comme « Taxi driver », qui avait vu très juste.,
A la genèse du crime, on ne perdra pas son temps à lire « de sang froid », de Truman Capote.
Les livres sont précieux. Ce sont des remparts, des respirations. Ainsi nous pouvons mettre le monde à distance, dégoupiller sa violence.
Lire devient un acte révolutionnaire. Et même réfléchir. Je viens de lire un article montrant qu’une étude américaine à montré que la lecture favorisait l’empathie. Une évidence. Et bien sûr aussi l’imagination, la résilience, l’autonomie, l’intelligence au monde.
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