@julius 1ER
Je me demandais si j’allais répondre à ça. Mais enfin...si je peux encore t’insupporter le plaisir sera pour moi.
Je vois que tu es un adepte de la censure et que ça te fais rager qu’elle n’ait pas cours ici. Désolé pour toi. Et donc je vais en remettre une couche.
L’exemple de l’Algérie me plait bien. Non parce qu’il est pertinent parce que c’est un conflit d’une toute autre nature et que ce n’est pas tant le nombre de victimes qui doit nous effrayer que les objectifs d’une guerre. Y en a un autre dans les commentaires qui m’a fait une comparaison aussi sans objet avec la première guerre mondiale et ses 2000 morts français quotidiens. C’est vrai qu’à ce jeu-là j’ai perdu. Cela dit tous ces morts de la première guerre mondiale n’ont pas changé les choses fondamentales. L’Allemagne vaincue deux fois en moins de 50 ans continue à brasser la Spaten selon le Reinheitsgebot de 1516. Le jour où les islamistes triompheront ce sera terminé. C’est là la grande différence, c’est les enjeux finaux.
Donc j’en reviens à l’Algérie pour expliquer ce qui me plait dans cet exemple. Et bien c’est, et tu l’auras deviné sans doute, la manière hautement efficace de faire cesser les attentats. Tandis que nous battons notre coulpe en évoquant la bataille d’Alger, elle est enseignée à West-Point comme exemple de combat anti-insurrectionnel. Mais pas à Saint-Cyr. Imagine un peu qu’on décide vraiment d’en finir avec ces déséquilibrés, comme tu les nommes ! Eh bien c’est tout à fait possible et ça a été prouvé de façon empirique. Tu vois que de bonnes idées peuvent naitre de tes réflexions ! Et en plus on peut faire ça sans même « napalmer les quartiers difficiles », de manière très écologique.
Merci encore pour ton apport à ma réflexion.