@raymond 2
On
n’en sait rien pour Tchernobyl c’est entre 20 morts et 1 million
selon la source
Est-ce que vous vous rendez-compte de ce que représentent un
million de morts supplémentaires dans les cimetières qu’il
faudrait soudain agrandir considérablement ?
En réalité on a compté tous les décès dus à certains cancers
comme étant obligatoirement le fait de l’accident de Tchernobyl.
Ceux qui ont fait ce pseudo-calcul étaient parfaitement conscients
de leur mauvaise foi.
On a cherché à tout prix une augmentation du nombre de cancers dans
le département de la Manche du fait de la présence du centre de
retraitement des déchets nucléaires de la Hague, en vain.
L’arme de destruction massive n’est pas le nucléaire, c’est le
bactériologique (on devrait dire le virologique) suivi du chimique
(poison) et seulement après du nucléaire.
La raison est physiologique.
Le virus s’introduit dans les cellules qui le concernent et
s’y multiplie. Il s’y multiplie ce qui tue la cellule hôte et
permet à de multiples nouveaux virus de partir à l’assaut des
autres cellules en un système auto accéléré qui rappelle un
incendie.
Le poison ne se multiplie pas, lui. Mais il modifie ou bloque une de
ces réactions de chimie organique complexe qui sont réalisées par
milliards chaque jour dans un corps vivant. Il introduit en quelque
sorte une panne dans cette mécanique, avec efficacité. Mais il ne
peut à la différence du virus contaminer des personnes qui ne l’ont
pas absorbées.
Le nucléaire, lui non plus ne se multiplie pas : la radio activité
induite dans le corps d’une victime est négligeable pour ceux qui
l’entourent. À la différence du poison, il ne bloque pas les
réactions organiques. Il tue quand un volume très important de
neutrons ou un puissant rayonnement gamma perturbe la géométrie des
protéines, des ADN et ARN, de telle façon que la cellule ne puisse
pas réparer dépassée l’étendue des dégâts et meure ou devienne
cancéreuse. Sinon, comme les neutrons ou le rayonnement gamma ne
subsiste pas à la différence du virus ou du poison, la cellule se
remet en ordre comme si de rien n’était.
N’oublions pas qu’il existe une radioactivité naturelle depuis
l’origine de la Terre à laquelle les organismes vivants ont dû
s’adapter faute de quoi ils disparaissaient. Le granite de Bretagne
est nettement plus radioactif que le calcaire du bassin parisien.
Pourtant on ne constate aucune surmortalité en Bretagne qui lui soit
attribuable. En effet le seuil de radioactivité naturelle est
inférieure aux capacités d’auto-réparation des cellules atteintes.
Ce sont les spationautes-astronautes-cosmonautes qui sont les plus
exposés aux particules hautement énergétiques venus de l’espace et
traversant les parois des vaisseaux spatiaux. Pourtant, ils ont une
vie aussi longue que la moyenne ...