@ christophe nicolas,
Dans cette affaire, on voit surtout que votre ignorance du fonctionnement du milieu marin vous fait rentrer dans le même délire climatosceptique que JC Lavau ci-dessus.
En fait, je n’en ai strictement rien à foutre du réchauffement climatique. Je note cependant que c’est un prétexte qu’avancent nos technocrates pour justifier de la perte de la biodiversité marine et stigmatiser au passage le monde de la pêche professionnelle en l’accusant de surpêche tout en passant outre sur le principal problème qui justement cause la perte de cette biodiversité.
Concernant le CO2, l’affaire est simple, les océans sont remplis de petites bêtes qu’on appelle plancton qui elles se chargent de la recapture du CO2 bien mieux que ne le font les échanges chimiques eau/air puisque par le biais de ce qu’on appelle la pompe biologique, les océans font office de puits à carbone et le stocke pour des milliers d’années. Or, si pour une raison x ou y le plancton disparaît, il n’y a plus de recapture de CO2.
De fait, ça m’arrange bien que le GIEC incrimine le CO2 comme cause du réchauffement climatique, car en fait, si la volonté de nos édiles étaient réellement de réduire nos émissions de CO2, ben alors il faudrait commencer à se préoccuper sérieusement du bon état de santé de notre plancton mondial. Or, toutes nos activités à terre concourent à sa destruction.
Bref, pour ne pas m’éterniser sur le sujet, j’en conclurais en constatant simplement que toute votre « science » vous rend incapable de comprendre les enjeux politiques qui se cachent derrière cet enfumage, ou pas, du réchauffement climatique.
Pour être plus clair, vous tombez totalement dans le panneau de nos insupportables manipulateurs en chef en entretenant une dichotomie qui fait plus particulièrement le jeu de nos édiles. En favorisant la forme sur le fond, vous ne servez finalement que ceux que vous prétendez combattre. Faut vraiment en tenir une couche pour tomber dans ce genre de piège tout en se prenant pour intelligent.