Le gouvernement français est vraiment le parti de l’étranger.
A l’extérieur, il continue de servir les intérêts américains et israéliens et à l’intérieur, il s’appuie sur les masses immigrées et musulmanes pour remporter les élections (les musulmans ont voté à 90 % pour François Hollande en 2012).
Les attentats actuels ternissent l’image de ses protégés et ne font pas ses affaires. Des consignes ont été données aux médias par l’intermédiaire de BHL pour ne pas montrer les photos des terroristes et ne pas divulguer leurs noms ; il s’agit de cacher les origines ethniques et religieuses des terroristes.
« Urgence d’un »grand accord" entre les médias : ne plus donner ni le nom,
ni la photo, ni l’itinéraire et la vie des assassins djihadistes."
Europe 1, BFM et le Monde ont immédiatement commencé à appliquer ces consignes.
Dans cette logique, Manuel Valls continue d’organiser la subversion migratoire et préfère considérer les patriotes (qualifiés d’extrémistes de droite) comme la principale menace pour la France, en dépit des évidences :
“L’islam a trouvé sa place dans la
République"
et il s’en est pris à l’extrême droite :
“Ce rejet insupportable de l’islam et des musulmans,
ces paroles, ces actes, tout comme les paroles et les actes
antisémites, antichrétiens, doivent être combattus – et ils le sont –
avec la plus grande force”