- Barnier dans le rôle de raccommodeur de porcelaines ; cela n’empêchera nullement la décomposition du moloch ! Après le GB, la suite viendra de l’Autriche prochainement. Je suis pour l’organisation d’1 référendum sur le Frexit et l’adhésion à l’AELE/EFTA : les Pays qui la composent comme la Suisse, la Norvège, l’Islande.., fonctionnent différemment avec moins de contraintes & se sont bien sortis de la Crise et ne sont aucunement dans le marasme économique, en comparaison de beaucoup de pays de la zone € dont la France ! L’UE a échoué de partout ! Les nouvelles adhésions programmées par la Maison-Blanche ne se feront pas : adieu Turquie & Ukraine, les Pays des Balkans hésitent... ils ont raison car cette UE est mortifère et condamnée à l’étiolement...
http://www.voltairenet.org/article166199.html
- "Loin d’être l’action de la « main invisible du marché », la crise de
l’euro est le fruit d’une stratégie mûrement préparée par Christina
Rohmer et le Comité des conseillers économiques de la Maison-Blanche. Il
s’agit de sauver l’économie étatsunienne en contraignant les capitaux
européens à se réfugier outre-atlantique, et en plaçant à terme
l’économie des Etats de la zone euro sous contrôle US via le FMI et
l’Union européenne. Cette offensive contre l’euro est d’abord une action destinée à ramener
aux Etats-Unis les capitaux étrangers nécessaires à la couverture du
déficit croissant de la balance financière des USA. C’est un signal
d’avertissement à des pays comme la Chine qui avait commencé à
rééquilibrer leurs réserves de devises en achetant de l’euro au
détriment du dollar.
- L’Union européenne a été construite autour de l’Allemagne et structurée selon ses intérêts.
Les pays qui n’arriveront pas à ramener leur dette a moins de 60 % du
PIB seront amendés par Bruxelles. Ce texte envisage la possibilité de
sanctions même lorsque la limite actuelle de 3 % du PIB, fixée par le Pacte de stabilité, n’est pas encore dépassée.Le modèle allemand, faire inscrire, dans la Constitution, le principe de
l’équilibre budgétaire, soutenu également par la France, est appelé à
se généraliser. Cela supprimerait toute possibilité, déjà actuellement
très faible, d’initiative budgétaire. Les Etats membres seraient,
vis-à-vis de l’Union européenne, comme les Etats fédérés étasuniens vis à
vis de leur Etat fédéral. Cependant, il ne faut pas se tromper, il ne s’agit pas là d’un
renforcement de la construction européenne, mais, au contraire, de la
dissolution de toute possibilité d’initiative politique afin de
conforter la toute puissance des marchés." (sic)