On déplore un tout petit rien quoi, Thorgal à vous entendre...
La marchandisation des corps qui se profile (louer son ventre ou travailler en usine)
Notre démographie qui ne suffit pas à renouveller les générations d’autochtones (1,1 enfant par femme, le reste à la poubelle parceque « je le vaut bien »)
et donc par voie de conséquence la disparition programmée de notre culture, de notre socle civilisationnel
Les dimanches qui passent à la trappe (lois macron) transformant nos société en une fourmillière qui s’activerait jour et nuit sans relâche... un monde voué à la consommation.
Personne je pense ne regrettera la vieille fraise « marteau piqueur » du dentiste...ni l’absence de sanitaires ou de salle de bain dans les logements, encore moins la lessiveuse...
Mais à quoi bon tout ceci si c’est pour finalement vivre dans des cités dortoirs, des villes dortoirs en passant sa vie à la perdre, ignorant les saisons, ne sachant plus voir dans la nature les signes qui annoncent l’orage, la pluie, le beau temps... travaillant lorsque la nature se repose, nous reposant quand celle ci donne son fruit...
ce que je ressent, c’est qu’un équilibre s’est rompu... que cette rupture peut à nouveau nous mener à la guerre (civile notamment)
Nous et notre technologie (alerte attentat notamment) impuissante alors à empêcher ceci car devenus semblables à des ânes, auxquels on fait miroiter des carottes au bout d’une ficelle pour les faire avancer....