@yves
Le PRCF se fait le relais complaisant de la publication mondialiste par excellence, au même titre que le Le Monde en France : le NYT !!
On ne saurait mieux servir les intérêts de ses prétendus adversaires, et soutenir son agenda !
Voilà un article qui, au contraire de nos éternels idiots utiles gauchistes, a le mérite de situer dans quel contexte intervient cette offensive pseudo-antiraciste. Tout est déconstruit de cette tentative d’intoxication. Extraits :
« Ils réclament justice, ils veulent la vérité. La vérité ou leur vérité ? À les entendre, il y a forcément bavure, dissimulation. Voire complot, si l’on s’en tient aux propos de la sœur, mais aussi du frère : « Je suis persuadé qu’ils avaient mis un contrat sur sa tête ». L’inversion accusatoire, tapis rouge de la manipulation victimaire qui absout les minorités de toute faute, balise l’écho médiatique.
(...)
En somme, les forces de l’ordre devraient éviter d’importuner les délinquants issus de la diversité pour ne pas risquer d’accroître les dissensions ethno-religieuses qui délitent la cohésion nationale, parce que c’est ce que recherchent, paraît-il, les terroristes. Ainsi s’enracine le nouveau sophisme en vogue chez les médias et les politiques depuis les derniers attentats. Après avoir voulu museler pendant des décennies les voix s’élevant contre l’immigration de masse, l’insécurité, le communautarisme, en les accusant de faire « le jeu du Front national » (mais ça ne prend plus, mince alors !), on leur reproche aujourd’hui de faire « le jeu de Daech ».
Ce raisonnement pervers ouvre la porte à toutes les soumissions, toutes les cécités. Adama Traoré n’est pas une victime innocente mais un délinquant multirécidiviste qui a résisté à une interpellation. Rabâchons-le à satiété : nul ne se réjouit de sa mort. Mais l’enquête judiciaire et celle de l’IGGN doivent pouvoir se poursuivre à l’abri de l’hystérisation que certains se plaisent à aiguiser, et d’une récupération idéologique qui carbure à fond les manettes. Si Traoré avait été blanc, personne ne se serait attardé sur son cas ; s’il avait été un affreux réac, beaucoup auraient sabré le champagne, et aucune banlieue ne se serait enflammée.
Samedi 30 juillet, gare du Nord, une marche blanche organisée à sa mémoire, qui n’avait pas été déclarée en temps et en heure à la préfecture, a été contenue par les CRS. « Pas de justice, pas de paix », avertissaient les quelque 600 participants, qui se sont plaints d’avoir été « nassés comme des animaux ». À quoi s’attendaient-il en initiant un rassemblement illégal en plein Paris ? La logique reste invariablement la même : mépriser la législation, générer des situations qui justifient une réprimande, s’offusquer de ne pas obtenir satisfaction, se révolter de ne pas bénéficier d’une clémence inconditionnelle, s’insurger quand ça tourne mal, masquer le réel en se fantasmant persécuté, jongler sur un double registre contradictoire en se livrant à l’intimidation par des actes insurrectionnels, puis en suscitant l’apitoiement par la culpabilisation à l’encontre d’une société prétendument répressive et inégalitaire. »