Bonjour,
J’ai suivi de très loin la campagne espagnole, donc mon opignon est plutôt sommaire. Ce que je constate par contre, est un problème récurent de nos démocratie, ce que vous nommer bien gentiment dans votre commentaire @ Alinea (l’institutionnaliste). Le réel défi pour que la gauche politique se redéfinissent comme une alternative crédible est impossible, principalement deux facteurs non négligeable en cause.
Nous savons tous que en politique actuel, la capacité d’amasser des $$$ se traduis concrètement en vote pour l’idéologie que nous défendons. Tant et aussi longtemps que le commun des mortels n’exigeras pas une impartialité économique complète et totale de tous les partis politiques confondus. Rien de vraiment tangible ne pourras se créer suite à des mouvements de masse comme les indignés. Comment combattre le néolibéralisme, quand ce dernier nous tient par les burnes en définissant les règles du jeu et non les citoyens ? Qui oseras proposé un modèle de société destructeur pour la main qui le nourris, ce que j’appelle la ligne rouge politique à franchir pour s’affranchir. Depuis le temps que nous connaissons les effets pervers du néolibéralisme, ce n’est pas vrai que les gens soit assez bête, pour n’avoir rien à proposé, blanc-bonnet bonnet-blanc.
L’autre aspect est plus personnel, si quelqu’un connaît la recette pour faire une omelette sans casser d’œufs, j’aimerais bien la connaître. Une répartition plus équitable de la richesse inclus une réorganisation complète et totale de l’économie, qui ne le sait pas ? Dans ce contexte vos burnes personnelles sont en jeu et nous avons tous peur, qui n’est pas obliger de protégé ces acquis au sein du néolibéralisme actuel. Nous espérons la venu d’un mouvement politique dont les membres seront plus catholique que le Pape dans leurs convictions sur les bienfaits d’une réorganisation plus saine de l’économie. Qui obligatoirement nous enlèvent la possibilité d’accès à la notoriété dont le néolibéralisme verse sur nous depuis notre tendre enfance, cette illusion de puissance et de bonheur relier au pouvoir économique qui alimente la plupart de nos rêves.
Le Christ reviendras parmi nous, je veux bien mais ou, quand, comment nous l’ignorons. Donc si personnellement je ne retrouve pas un équilibre plus humain dans ma perception de la notoriété au sein de la société, aucun miracle ne viendras seul c’est une certitude. À part les demis mesures de Syriza, dont les plus osée contre le néolibéralisme, ont été balayer du revers de la main lorsque ce dernier à le pouvoir (référendum Grec) avec le résultat que le commun des mortels n’a même pas sourciller un peu. Même l’audit sur la dette grecque, laisse un profond gout amer à qui souhaite une réforme en profondeur de l’économie. Ce qui défini parfaitement un autre aspect de la ligne rouge, nos avoir perso. Encore une fois pour s’affranchir, il faudra la franchir et mettre fin volontairement à cette illusion qui berce notre cœur, à même notre berceau.
Dans les deux cas, notre abandon volontaire de pensée librement au plus offrant, perso par l’illusion et collectivement par des partis politiques pieds et poing liées par notre conception de la notoriété, qui verse sur la politique. L’impossibilité concrète d’être totalement impartiale lorsque les réformes l’exigent et ça fait un bail que sa durent. Même le mouvement qui conduis à Mai 68, n’a pas solutionner ce mystère. Et vous constatez aussi bien que moi, les résultats concrets. Pourtant la clé est purement démocratique, lorsque nous seront moins occupé a être paralysé par la peur. Peut-être qu’une certaine logique réapparaitras et seront plus en mesure de se poser les bonnes questions. Pourquoi en démocratie si la majorité ne souhaite pas perdre son confort actuel elle le perdrais obligatoirement ? Notre bien être futur, bien que nous en contrôlons qu’une infime partie, nous la contrôlons tout de même. Est-ce politiquement le régime de retraite est la meilleure solution pour nous l’assurer, un autre modèle pourrait t’il y parvenir mais de façon plus équitable pour le commun des mortels ?
Les défis sont grand certes, mais rien n’est impossible pour un cœur qui bat librement. Et c’est d’autant plus vrai lorsque se cœur est celui de la nation.
Bien à vous, très bon texte !