@pemile
« la troisième loi de Kepler permet de calculer la masse d’un astre par l’orbite de ses satellites »
L’orbite d’un satellite ne dépend pas de sa masse mais seulement de sa vitesse et de son altitude. D’ailleurs des satellites artificiels de même vitesse et de même altitude orbitent autour de la terre avec des masses très différentes.
Donc :
« les sondes envoyées vers venus ont permis de calculer plus précisément sa masse. »
est tout aussi faux : on ne peut rien déduire de l’orbite d’un satellite quant à la masse de la planète autour de laquelle il tourne.
Ou alors citez vos sources, la source Pemile n’étant pas fiable à mes yeux, qu’on puisse en discuter.
Maintenant, pourquoi pense-t-on que le noyau est constitué de fer ? Parce qu’on estime qu’il est semblable aux astéroïdes (de type M), pour on ne sait quelle raison, d’une part. On estime...
Comment affirmer que les astéroides soient issus du noyau d’une planète ?
Mais d’autre part, pour faire coller des hypothèses entre elles :
« La densité moyenne de la Terre est de 5,5 ; celles des croûtes continentale et océanique respectivement de 2,7 et de 2,9 celle du manteau en moyenne de 4,5. Cela conduit à penser que la densité du noyau doit être nettement supérieure à 5-6. Par le calcul, on arrive à une densité de l’ordre de 12, voisine de celle du fer. »
Et voilà le travail : pour faire coller une masse terrestre supposée avec son volume, on est obligé d’inventer un noyau en fer.
Mais si les calculs de Cavendish sont erronés (pour les raisons citées plus haut), et si la masse de la terre est plus faible, la théorie du noyau en fer ne tient plus la route, pas plus que la source avancée du champ magnétique, qui est foireuse par bien des aspects. Mais c’est le dogme, et les dogmatiques s’en contentent.
Si vous étiez capable d’ouvrir votre esprit à d’autres hypothèses, vous verriez qu’un autre paradigme est possible. Mais c’est une chose dont vous êtes incapable, j’en ai bien peur.