@sarcastelle
Je
sens bien que vous propos malveillants ont pour origine le fait que
je me proclame matérialiste et que vous, comme beaucoup d’esprits
faibles, êtes révulsée à l’idée que la mort est la fin de tout,
que les méchants ne sont pas punis dans l’au-delà et les justes
récompensés.
Seulement
c’est comme ça : nous sommes des animaux-machines et la mort signifie
l’arrêt définitif de la machine.
Je
ne vous répondrai plus après aujourd’hui : c’est perdre son temps.
l’énergie
qu’on peut recevoir en s’abritant sous un arbre qui prend la
foudre
Ce
n’est pas de cette énergie-là dont parle l’auteur de l’article qui
tient un tronc d’arbre à deux mains pour la recueillir : il serait
électrocuté !!! Et puis l’énergie électrique, on a des appareils
pour la détecter, pas celle qu’on recueille en serrant un tronc d’arbre !!!.
Vous pensez qu’un
projectile arrête un corps en mouvement si les deux ont même
énergie cinétique
Il
n’y a pas que moi qui le pense. Deux locomotives se rencontrant sur
la même voie s’arrêtent l’une l’autre !!! Si, si !
Vous pensez que
la radioactivité bêta est composée de neutrons.
J’ai
expliqué qu’il n’y avait pas émission spontanée de neutrons sans
qu’un proton se transforme en neutron, modifiant l’équilibre
quantique protons-neutrons du noyau. Je ne voulais pas être trop
long, mon propos étant de parler de la létalité de la
radioactivité rapportée à celles, bien supérieures des virus ou
des poisons chimiques.
Mais
j’ai bien compris que vous êtes mesquine et cherchez la petite bête
pour avoir quelque chose à dire de négatif.
Vous pensez qu’un
noyau fait de protons oppose une répulsion électrostatique à
l’approche d’un électron
Je
ne sais pas dans quel contexte j’ai écrit cela mais il s’agit bien
entendu des niveaux quantifiés de l’électron qui aboutissent de
fait à une répulsion avec le noyau.
Vous pensez que
les corps fissiles naturels remontent aux temps du big bang
Les
noyaux lourds fissiles se forment lors de l’explosion des supernovæ.
Ça ne date pas de 13 milliards d’années mais de douze ou onze
milliards pour les plus vieux. Ça change quoi au raisonnement sur leur longévité ?