@Armelle. Si tu as une idée vachement siouxe, qui provenant du génôme des espèces forestières d’un continent soit applicable au génôme des espèces forestières d’un autre continent, qu’attends-tu la vérifier et la développer toi-même ?
Parce que ruser pour nous culpabiliser de n’avoir pas développé cela dès avant-hier et à ta place, certes c’est très féminin, mais ce ne sera jamais honnête. Je t’encourage à réaliser un diagramme PERT, et tout le budget-temps et le budget financier qui va avec. Comment vas-tu financer les locaux ? Comment vas-tu financer les équipements ? Comment vas-tu financer les salaires ? Où et comment vas-tu recruter les scientifiques, les planificateurs et les techniciens ?
Sachant ce que dure une génération de chaque espèce forestière dont tu veux faire la modification génétique, il faudra combien de générations d’humains pour avoir des résultats qui ne soient pas du vaporware ?
Parce que non seulement il faudra refaire à ton idée les génômes des arbres de futaie, mais également ceux des espèces humbles, ainsi que de la microfaune du sol. Tu n’oublieras pas de modifier les écureuils roux pour qu’ils sachent s’abriter dans des terriers de 2 m de profondeur, aussi bien que les terriers des blaireaux.
Des culpabilisateurs de merde et des culpabilisatrices de oumfa-oumfa, il y en a MARRE.