Bonjour,
Je
suis tombé un jour par hasard sur un « savant fou » (?)
nommé Nassim Haramein. Je vous transmets une partie de son axe de
réflexion, on ne sait jamais, car bien que je trouve cela très
séduisant et cohérent, je n’ai aucun recul scientifique ou
compétence pour en évaluer le bien fondé :
Quel
point commun structurel fondamental traverse de part en part toute la
constitution des choses de l’infiniment grand à l’infiniment petit ?
Le vide.
De
l’univers aux atomes : tout est remplit d’espace. Il dit
regardons le 99% de ce qui est là. Il propose ensuite une mesure de
la densité des fluctuations énergétiques dans 1 cm cube de vide,
un résultat : 10 puissance 93 (?). Il dit en somme que c’est là
l’éléphant en plein milieu du couloir.
il
propose un modèle géométrique de la structure du vide, un
« Tetrahedron » à 64 faces, une sorte d’étoile de David
multidimensionnelle, s’appuyant sur le travail de Buckminster Fuller.
Il cherche l’équilibre géométrique parfait. Recherchant une
formalisation de cette source, réglée comme du papier à musique,
d’où jaillissent ces architectures et ces dynamiques : sphères,
spirales, atomes et organismes, tous ponctués du ratio « Phi »
et tous s’intégrant dans une logique de fractales.
Pendant
que l’univers est en expansion, ou est la contraction égale et
opposée ?
Là
il propose un modèle de « double torus », sphérique,
qui décrit une dynamique globale ou depuis le centre vers les
extrémités, et vice versa, se meut un cycle symétrique d’extension
et de contraction des forces. Modèle valable selon lui du niveau
galactique au niveau atomique. Le soleil, en quelque sorte, pour ne
pas s’effondrer sur lui même, irradie, est-ce bien cela ?
Qu’est
ce qui anime les électrons autour d’un noyau de carbone ?
Qu’est ce qui fait tourner une galaxie ? Quelle est cette
source, précisément ? Il propose : gravité et
électromagnétisme, expression plurielle d’une même cause
physique ?
Du
vide nous émergeons, comme toute chose, du sein de notre « cellule »
parent. On jaillit littéralement du « centre » de
quelqu’un d’autre, n’est-ce pas troublant... Prenant forme à partir
de « rien », ou presque. Qu’est ce qu’un trou noir ?
Il répondrait un point source, une singularité. Une constante
multidimensionnelle. La composante physique fondamentale qu’on
retrouve au « centre » le plus parfait de toute chose
incarnée et animée.
Il
propose de considérer le proton de Schwartchild comme obéissant aux
conditions d’un mini trou noir.
Que
cela vaut il, amis scientifiques ?
Salutations.