Bonjour :
merci à topus pour vos commentaires.
@Mac : Je vous invite à lire mon commentaire en fin d’article sur le pourquoi l’informatique n’est pas une révolution industrielle à part entière. L’informatique permet d’immenses gains de productivité, mais une révolution industrielle ne se réduit pas aux gains de productivités. Sinon les machines transfert seraient une révolution industrielle à elles seule.
Pour la concentration des richesses, je n’écarte pas le problème mais ne suis pas en mesure de contribuer davantage au débat après tout ce qui y a déjè été versé. (cf Piketty, vous même...)
@Daniel roux : Oui vous avez raison j’ai une vision étroite de la révolution industrielle car j#essaie de me concentrer sur l’impact du progrès technique dans la croissance, Via les nouveaux procédés, les gains en effectifs que vous illustrez à merveille et aussi la création de capital qui génére une activité sans contrepartie de consommation.
hors ma Thèse est que même avec une volonté politique de répartir (ce qui est aujourdÄhui loin d’être le cas) l’occident affronterais quand même une crise car la technologie actuelle est à ces limites. Cela se traduit dans le post de Cool dude par le constat de ressources limitée. Le peak est une question qui revient à chaque hivers Konradtieff et disparait ensuite par miracle lorsque de nouvelles matiéres et sources d’énergies apparaissent et chassent partiellement les anciennes de leur marchés. A la fin du XIXième siècle on parlait de peak charbon.
Et cette vision d’un monde finit déclenche chez les détenteurde capital en général une lutte des classes sévére pour s’approprier la valeur ajoutée.