De la gravitation :
" la constante g dépend exponentiellement de l’altitude et de la courbure aussi au voisinage du corps dérivant dans cette courbure ! mais évidemment ce serait trop simple ! G dépend aussi de l’impédance mécanique entre deux corps et de sont évolution ultérieure ; c’est comme si la gravitation voyait les varaitions ultérieurs de l’impédance car celle-ci modifient la vitesse des signaux échangés, si la gravitation einsteinienne voyage bien sur la variété fibrée à la vitesse limite supérieure c, il n’est pas de meme pour la connexion avec le spin qui génère aussi des signaux mais de variation d’impédance et pas de potentiel ni d’énergie ! Le milieu de propagation est alors le vide hors champs où la vitesse est infinie ; ces signaux échangés avec les autres astres n’ont pas de moyenne nulle et modifie la gravitation et la constante G, quand on sait les mesurer ; mais pour les mesurer, il faut est sur de l’antenne pour les détecter ; une antenne gravitationnelle produit des niveaux d’énergie conservant l’action, mais le potentiel associé est imaginaire et si l’appareil de mesure ne peut mesurer celui-ci, alors G redevient une constante :
La variation par modulation de l’impédance du vide est instantanée, la gravitation des masses, pas du tout et la connexion produit les deux gravitation et phénomènes de matère noire ensembles.
Il y donc trois phénomènes dans la gravitation dépendant tous de la courbure ;
et il y en un quatrième qui vient compenser tous les autres, c’est l’expansion de l’espace-temps pour que l’énergie se conserve bien sur ! les deux invariances étant respectées, on ne peut amplifier de la masse mais juste modifier la moyenne minkowskienne des potentiels de l’oscillation d’une métrique de la topologie d’une variété fibrée connectée avec son cotangent.
Ce qui modifient les modules de distances et annulent les effets d’amplification de masse relativistes ( d’autant plus que sa moyenne dynamique peut etre nulle mais pas la masse de la matière elle-meme, ni l’inertie de l’énergie non plus)
Mario Bévia
Bien sur c’est résultats sont minkowskiens donc indépendants de l’observateurs et dépendent de la vitesse dans un référentiel repéré dans un troisième, mais aussi d’impédance modulable, du vide comme de l’espace entre les masses aussi
ce n’est pas simple ! et les phénomènes supra-luminques dans la vide doivent etre pris en considération : l’impédance et sa dérivée temporelle ne suffisent pas pour affirmer la constance ou non
G = - a. dz/dt + Z. da/dt = 0
mais seulement si le vide est constant dans l’espace et le temps, sans modulation de son impédance µoc"