En dehors de toute forme de parti-pris, ne serait-il pas temps de réfléchir un peu sur la vie de ces peuples que l’on souhaite « libérer » ?
Quel est le souci principal d’un « sans dents » de n’importe quel pays du monde ?
Je vous le donne en mille : Qu’on lui foute la paix et qu’on le laisse vivre comme il l’entend, selon ses propres traditions.
Et s’il vit sous la coupe d’un tyran sanguinaire (c’est le cas de 99,9 % de la population mondiale), lorsqu’il en aura marre il se débrouillera pour que ça cesse.
De toutes façons, les états à l’occidentale bien centralisés ne peuvent qu’engendrer des dictatures, qu’elles soient soft (si on a le temps de laver les cerveaux) ou hard (si on est pressé).
Le problème principal n’est pas le gouvernement « démocratique ou pas », c’est bel et bien la structure centralisée des états qui facilitent l’émergence de castes qui asservissent les autres.
Les « révolutions de couleur » et autres « Maïdan » ne sont que des manipulations d’oligarques occidentaux pour prendre le contrôle de zones intéressantes (directes ou indirectes, par exemple l’Ukraine est un marchepied pour contrôler la Russie).
Les « gueux » qui habitent ces pays ne sont que du bétail, comme ceux qui habitent les « pays développés » en occident. Juste de la chair à canon dans la grande guerre économique que se livrent les ploutocrates.
Dans une guerre, qui se soucie de la valetaille ?
On parle des « gueux » de Syrie pour tenter de créer une forme d’empathie chez les « gueux » locaux afin qu’ils acceptent, dans leur grande servilité, de se serrer encore plus la ceinture pour financer ces opérations morbides.