@Otrava gamás
« Et quand nous sortirons du chavisme, ce chapitre de l’histoire sera rectifié et la vérité rétablie »
Là j’avoue que je deviens plus que très inquiet. Il y a des dizaines d’ambassadeurs qui confirment le coup d’état de 2002. Que comptez vous faire, attaquer le monde entier pour imposer vos mensonges en les faisant passer pour vériter ?
Vous êtes comme ces partisans d’Hitler réécrivant l’histoire. Et en partagez qui plus est l’idéologie
Par ailleurs, non Chavez n’a jamais renoncé à rien.
Je vais citer wikipédia - qui n’a rien d’une officine chaviste - pour bien montrer à quel genre de négationaiste fascisant on a à faire avec Otrava Gamas.
Le coup d’État du 11 avril 2002 au Venezuela désigne une tentative avortée de destitution forcée du président du Venezuela Hugo Chávez, qui fut détenu et empêché d’exercer son pouvoir pendant 47 heures. Durant cette période, le pouvoir fut exercé par Pedro Carmona. Une combinaison de force militaire et de manifestations populaires fit avorter le coup d’État et permit de remettre en place Hugo Chávez. Des secteurs importants des forces armées1 et certains secteurs de l’opposition anti-Chávez ont refusé de soutenir le coup de Carmona2,3, qui fut par ailleurs condamné par les gouvernements latino-américains lors du XVIe sommet du Groupe de Rio, réuni au Costa Rica, et par différentes organisations internationales. Les États-Unis et l’Espagne ont rapidement reconnu le gouvernement de facto de Carmona, mais ont également fini par condamner le coup une fois que celui-ci eut échoué4.
Le coup avait été planifié durant six à neuf mois, et a été exécuté après l’entrée en vigueur d’une série de lois controversées en novembre 2001 et après que le gouvernement eut tenté de renforcer son contrôle sur la compagnie pétrolière de l’État vénézuélien, PDVSA. Une grève générale a eu lieu en décembre 2001, et, pendant les premiers mois de 2002, plusieurs officiers supérieurs ont publiquement appelé Chávez à démissionner. Au début du mois d’avril, le bras de fer entre le gouvernement et l’opposition a débouché sur une grève à PDVSA, qui s’est transformée en grève générale le 9 avril 2002, soutenue par le syndicat (Confédération des travailleurs du Venezuela, CTV) et par la principale fédération patronale Fedecámaras. La grève a été prolongée pendant plusieurs jours, et le 11 avril une manifestation de l’opposition a été déviée vers le palais présidentiel, où avait lieu un rassemblement pro-Chávez. Lorsqu’elle a atteint le centre-ville, des affrontements violents ont eu lieu, laissant un bilan de plusieurs morts et de dizaines de blessés par balles. Les médias privés vénézuéliens ont joué un rôle important en fournissant une couverture médiatique en continu de la grève générale et en soutenant et en diffusant l’appel à rediriger la manifestation vers le palais présidentiel. Le siège de Venevisión, propriété de Gustavo Cisneros, a notamment été l’endroit choisi par les principaux leaders de l’opposition pour se réunir après la manifestation du 11 avril et, de là, appeler les militaires à intervenir. Les médias privés ont par ailleurs refusé d’interviewer des membres du gouvernement après la manifestation, et n’ont pas couvert les manifestations pro-Chávez qui ont suivi sa détention par les militaires. Des tentatives des partisans de Chávez pour déclarer qu’il n’avait pas démissionné ont été ignorées. La tentative d’une division de l’armée de rendre public son rejet du coup a été ignorée et diffusée uniquement par CNN. Lorsque les partisans de Chávez ont repris le palais présidentiel, les principaux médias privés vénézuéliens ont interrompu la couverture des événements, et deux des trois principaux journaux du pays ont annulé leurs éditions du dimanche.
Après coup, l’Organisation des États américains (OEA) a établi un espace de dialogue ou mesa de dialogue (littéralement : table de dialogue), comme elle avait fait au Pérou après l’éviction d’Alberto Fujimori en 2000. À la demande de Chávez, la fondation de l’ex-président Jimmy Carter (le Centre Carter) et le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) en ont également fait partie. Pour faciliter sa participation au dialogue, l’opposition a créé la Coordinadora Democrática (CD, littéralement : « coordinatrice démocratique »).
06/09 08:24 - Otrava Gamás
@taktak Conclusion : Vous êtes super fortiche en copié/collé ..... mais cela ne garanti pas (...)
06/09 06:24 - baleti
@Otrava gamás Chavez avais compris que l’on ne dompte pas un fauve
05/09 18:22 - taktak
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