« à peu près 800 fois moins importantes que celles d’un grille-pain »
ATTENTION CET ARTICLE EST UNE CAMPAGNE DE DESINFORMATION, Monsieur vous êtes en MISSION envoyé par EDF, vous reprenez exactement leurs arguments. Votre discrédit évite soigneusement l’accumulation de polluants que l’homme moderne doit subir au fur et à mesure des avancées technologiques.
Le simple fait que ce compteur soit obligatoire rend la chose suspecte. Cela en dit long sur les avantages qu’en tirera EDF.
Vous n’en savez absolument rien si les ondes générées par ce compteurs sont cancérigènes ou non. Depuis que les apprentis sorciers ont le pouvoir, on en a vu défiler des moribonds atteints de cancer en phase terminale.
Et le cancer ne signe pas le nom du criminel.
Amiante, goudron, mercure, charbon, pétrole, plastiques et dioxines, aluminium, encres d’imprimerie, plombs, médicaments, nucléaire, engrais chimiques, pesticides, pile au cadmium, au lithium, … dans toutes ces corporations on apprend à convaincre en jetant du discrédit sur les opposants, « il faut bien vendre » dirons-nous.
Homme du XXIème siècle, regarde les choses en face ; vois comme on a tenté de rendre anthropophage nos vaches en leur donnant la carcasse de leurs congénères trépassés. Le commerce est roi, pour vendre ses produits, les compagnies seraient prête à refaire l’histoire (1).
Qu’arrive-t-il à notre corps quand il accumule des polluants ? depuis les années 1950, nous naissons tous avec des radio-éléments issus des expériences de bombes atomiques et des accidents nucléaires, en plus par les vaccins nos cerveaux contiennent de l’aluminium utilisé comme adjuvant, par l’alimentation c’est un peu de cadmium qu’on ingère en plus avec un complément de césium « made in » Tchernobyl & Fukushima, dans les salades des pesticides, dans le poissons du mercure, quelques traces de lithium dans l’eau du robinet avec un cocktail de médoc, (parce que les stations d’épurations ne savent pas les éliminer), des phtalates passant d’un emballage carton à un autre qui contient les pâtes ou les lentilles, un peu de dioxine en rabe parce qu’un incinérateur d’ordure ménagère est à côté du champ de moutons ou parce qu’un poisson a pris un bout de plastique pour une crevette, quelques ondes électro-magnétique à cause des antennes portable… Est-ce-qu’on a le droit de dire STOP ?
Car toute cette trop longue liste n’est pas choisie mais subie obligatoirement comme votre Linky adoré.
C’est bon, nous avons notre dose de polluants industriels. Prévenez-nous quand vous aurez décidé de la réduire cette « trop longue liste ».
(1) Aucune études épidémiologique sur les taux de cancer mondial au XIXème siècle n’ont été faîte. C’est bien dommage car cela aurait donné un point de comparaison entre cette période pré-industrielle et la nôtre. Cherchez par vous-même mais il est pratiquement impossible de connaître le taux de cancer par habitant des années 1950 aussi. Et si cette étude épidémiologique reste la grande absente afin juger si l’ère industrielle n’a pas ses sacrifiés, cela arrange pas mal de corporatistes.
Cancer = crime maquillé.