@jakem
Je crois que vous vous faites bien des illusions sur Varoufakis, excellent comédien et tragédien, au demeurant. C’est un euro-atlantiste pur jus ! Déclaration de Varoufakis au Huffington Post le 4 juillet 2015
"Je crois que dans toute l’Europe il y a besoin de partis comme Syriza et
Podemos, des partis à la fois critiques à l’égard du système mais en
même temps pro-européens et démocrates. Ceux qui nous détestent veulent
nous faire passer pour anti-européens, mais non, ce n’est pas vrai, nous
ne le sommes pas.«
C’est clair, net et précis, la Grèce ne doit pas sortir de l’ UE, ni de l’euro.
Varoufakis est proche de Soros ! C’est un cheval de Troie anti russe. »Lorsque le peuple grec a profondément rejeté les
mesures de sauvetage, Varoufakis ne voulait pas voir sa réputation
ternie en restant dans une administration grecque dont il savait à
l’avance qu’elle accepterait les demandes de l’Allemagne quoi qu’il
arrive, il a abandonné la partie et laissé son ancien partenaire politique dans le crime − Tsipras − devenir à sa place le dindon de la farce détesté.
Avec sa réputation préservée et même un peu mythifiée dans l’esprit de beaucoup comme un homme de morale,
Varoufakis et ses partisans étaient désormais libres de planifier son
retour inévitable. Cet agent a été initialement conçu pour fonctionner à
l’intérieur du système et le mener sur le chemin de la ruine par son
sabotage interne, mais après le référendum, un plan de repli a été
improvisé en faisant de lui le chef d’un mouvement de résistance populaire
contre les Euroméfiants − terme plus neutre employé par l’auteur pour
désigner ceux que les médias éreintent comme Eurosceptiques. " (..)