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Commentaire de alinea

sur Daesh interdit la burqa


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alinea alinea 9 septembre 2016 00:11

@Christian Labrune
Ce que je vois depuis quelques temps ici, ailleurs aussi mais sur les autres sites où je vais les articles sont sourcés et approfondis, tandis que ce que j’aime ici c’est qu’ils sont l’émanation du citoyen ordinaire et qu’ils appellent à réaction ; donc, ce que je vois, c’est une culture en pleine capilotade qui se gausse d’une barbarie en pleine expansion. Or ce que m’ont appris les sages orientaux c’est que lorsque plutôt que cultiver le bien, on attaque le mal avec ses armes, plutôt que devenir forts on prouve sa faiblesse et sa peur par des attaques stériles, c’est qu’on est faible ; et faibles, on est foutus.
Je vois partout des arguments d’une infinie petitesse, qui veulent nous faire croire que le bikini, la mini jupe ou le short sont la preuve de notre liberté, donc de notre supériorité, je m’inquiète effectivement de la réalité de celle-ci.
Tant que l’on s’efforcera de dénoncer l’autre comme inférieur en ricanant de ses travers, de ses archaïsmes ou de ses « retards », on arrivera juste à prouver à l’autre, l’ennemi, qu’on lui cède.
Il me semblerait de bon goût, indépendamment de nos petits problèmes de personnalité des uns ou des autres politiques, que l’on prenne conscience et acte de ce fait.
Aussi renforçons-nous plutôt de nos valeurs solides plutôt que croire que la fuite en avant prouve notre grandeur quand, pour la première fois nous sommes attaqués, et que nous le sommes que parce que , au contraire, nous prouvons au monde entier que nous sommes des cons, des faibles dangereux, des déclinants, des fin de race !
Tous ceux qui trouvent en la Russie et son dirigeant, un espoir, un repère, ont, consciemment ou non, la certitude que notre force ne peut résider qu’en ce que nous sommes, comme évidence, mais sommes, encore basés sur les savoirs et les valeurs qui nous ont constitués.
Et tous les délires mercantiles, décadents des abrutis qui confondent liberté et licence, ne sont que les preuves de la futilité de notre monde, occidental, que n’importe qui d’un peu spolié, frustré ou violent, aurait envie d’attaquer.


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