.@jaja
Marwan Mohammed celui qui dit ceci :
" Il y a du malaise partout, car les discours
islamophobes sont moins articulés à une rhétorique nationaliste que
progressiste, historiquement portée par les gauches d’ailleurs. Je
rappelle en outre que les différentes « affaires » du foulard ont
souvent été montées en épingle localement par des enseignants se disant
de gauche."
Bref ce n’est pas un homme de gauche, il n’est pas progressiste, il défend juste la soupe identitaire musulmane, comme beaucoup de pseudo antiracistes, et tous les professionnels de l’islamophobie, c’est à dire qui vendent des livres sur l’islamophobie.
S’il avait été vraiment progressiste, il n’aurait pas été étonné que les premières affaires de voile viennent de gens de gauche, c’est à dire des gens de culture laïque et féministe, alors que le hijab est une tenue d’origine intégriste et sexiste ( il n’est pas apparu sur les têtes des jeunes femmes par hasard , à n’importe quelle époque ).
EN plus ce qu’il décrit contredit son propos général sur l’islamophobie, les premiers conflits avec le conservatisme et l’intégrisme musulman ne viennent pas des élites mais bien du peuple, et surtout n’ont rien à voir avec ce qu’il décrit sur l’islamophobie.
Cette personne reproche à des gens de gauche de s’être inquiété en 83 d’ouvriers prêtant serment sur le coran, et de soupçonner une influence intégriste. Sans compter les revendications qui n’avaient rien d’ouvrières mais purement identitaires et religieuses comme les salles de prières.
Bref son discours n’est pas sérieux d’un point de vu progressiste, anti réactionnaire, humaniste, de gauche, socialiste, etc... et surtout n’est pas honnête dans l’appréhension des critiques faites à certains musulmans et musulmanes.
Le problème musulman, comme il dit , ce sont les musulmans eux même qui l’ont créé en générant une rupture avec la culture laïque des travailleurs et du peuple français, en ramenant du religieux là où il avait disparu. Et en demandant une inégalité de traitement c’est à dire de faire accepter ce qui était refusé pour le catholicisme.