@OMAR
Je veux bien vous croire quand vous affirmez faire partie de centaines de millions de musulmans qui dénoncent et condamnent les agissements de la lèpre wahabite.
Admettons que vous soyez 8OO millions.
Il en resterait donc encore 1 milliard qui approuverait ces agissements.
Combien en France de chaque catégorie ?
Personne ne peut le dire avec certitude.
Ensuite, parmi ceux qui prennent leurs distances avec les nazislamistes actifs et sympathisants, combien sont prêts à signer individuellement si on le leur demandait, le Pacte que Chevènement avait proposé en janvier 2000, qui exigeait l’abandon de la croyance - conviction de la primauté coranique sur les lois républicaines et l’abandon du crime d’apostasie ?
Ces exigences ont été refusées, et Chevènement avait été doublement critiqué ; d’abord pour avoir eu le culot ( rendez-vous compte ! il était ministre de l’Intérieur de la France et s’adressait à des gens vivant en France et se prétendant français ) de faire cette proposition aux musulmans et de n’avoir pas réussi.
Personnellement je crois qu’il existe des Français musulmans qui sont mes compatriotes sans aucun doute et sans aucune restriction parce que j’en connais quelques uns.
Et je sais, je pense, je suis sûr, qu’il en existe un tas que je ne connais pas qui sont pleinement français comme les sus-évoqués.
Mais les autres sont bien plus nombreux. Et les « instances représentatives » n’incitent guère leurs coreligionnaires à demander un tel engagement à l’Etat puis à le respecter.
Cet aspect est crucial, fondamental, essentiel. le refus systématique n’engage absolument pas à accorder confiance. Si cet antagonisme ne disparait pas, les tensions produiront des affrontements nombreux, devenant de véritables batailles, donc la guerre civile.
A ce moment-là plus aucune discussion ne sera possible.
En ce qui me concerne je défendrai mon pays, comme un certain nombre d’autres Français qui se préparent, sans pourtant souhaiter un tel conflit.
Quant aux différences dont vous parlez, on s’en fout. Vous dites : il faut contextualiser. Et bien, faites ! en contextualisant tout du début à la fin. Sans oublier de promulguer ( je me permets le glissement de sens de ce terme vers un usage confessionnel ) le verset ou la sourate ou le blabla qui enjoint aux croyants de s’adapter aux lois des pays où ils vivent en les respectant.
En France y-a pas de problème : article 1, loi 1905 : « la République assure la liberté de conscience ». C’est indéniable.
Si je me trompe, corrigez-moi.