@Joseph
« …il y a un éternel
débat sur le « vrai islam »... Je ne veux pas savoir lequel est le
vrai puisque chaque musulman aura son propre avis là-dessus. ce que je peux
dire c’est qu’il en existe des formes totalement ce que je peux dire c’est qu’il en
existe des formes totalement incompatibles avec nous, nous-mêmes… »
Je sais
qu’il existe différentes expressions de l’Islam, pourtant toutes se rassemblent
autour d’un repère indiscutable et indiscuté, qui est la « parole de
Dieu », telle qu’elle est contenue dans le Coran et la Charia, et c’est
cette « parole de Dieu » contenue dans le Coran et la Charia, qui
rend l’Islam incompatible avec la République et la Constitution.
« Mais si vous rendiez
tout à coup par magie les cassos récidivistes de banlieues chaudes tous athées,
je ne suis pas sûr que tous les problèmes disparaitraient... »
Au moins,
verrait-on disparaître le problème de l’insécurité dans les rues. Pour beaucoup
de petites gens, ce serait déjà un progrès inespéré.
« l’être humain a une
fâcheuse tendance à ne pas vouloir suivre des lois jugées injustes et
illégitimes, que cela n’entraîne que des tensions. »
Tensions
que ne fait qu’accentuer l’impression, fondée, qu’il n’y a, en face, qu’une
résistance formelle et irrésolue. Du train où vont les replis et les
capitulations, un jour prochain, des musulmans considéreront injuste et
illégitime entre vingt autres, la loi qui leur interdit de faire deux ou trois
des cinq prières obligatoires sur leur lieu et pendant les heures de travail.
« la majorité des
musulmans ne sont pas comme vous dites
A aucun moment, je n’ai parlé de
musulmans, mais de l’Islam, en tant que corps étranger au sein de notre
civilisation, caractérisée, notamment, par la
liberté de conscience, par la sociabilité entre les hommes et les femmes, et par
un foisonnement culturel dont certains abjects excès restent tout de même préférables
à la stérilité musulmane.
et n’aspirent qu’à vivre en paix. »
…entre
eux, en marge de la communauté nationale, et attentifs à ne pas s’exposer à la
vindicte des poissons intégristes dont ils sont l’eau, selon la métaphore de Mao :
tous les théoriciens de la guerre révolutionnaire – Lacheroy, Trinquier, Némo,
Hogard - ont constaté, dès les années 50, que les populations ne se mettent pas
à l’abri de ceux qui ont pour mission de les protéger, mais se rangent derrière
ceux qui leur inspirent le plus de peur. Ce qui est peut-être déjà le cas dans
les enclaves les plus islamisées de l’Hexagone.