Jean-Pierre Papin et Michael Jordan ont simplement réalisé ce qu’ils annoncaient ; et ceci, en faisant vibrer les supporters ; voilà toute la différence.
Annoncer que l’on est le plus fort est un risque certain, qui double les conséquences de la victoire, mais aussi celles de la défaite, comme est en train de le connaître le club lyonnais, ceci sans vouloir pourtant l’assumer.
Quand au racisme et autres préjugés du 19esiècle que vous m’attribuez bien vite, je dirais qu’un des plus gros préjugé du 20e sicèle occidental et de croire que toutes les natures humaines sont identiques, de refuser de reconnaître les différences de qualités parmi les individus comme parmi les groupes sociaux. Un tel aveuglement est affligeant et ne peu conduire qu’à des échecs patents, au nivellement par le bà de tous les domaines de l’activité humaine, ainsi qu’à une injustice évidente. Les lyonnais ne se sentent-ils pas mal-aimés injustement ? Pourquoi tous ceux qui les soutiennent éprouvent-ils le besoin de faire des pseudo sondages de popularité pour démontrer ce qui devrait apparaître comme la vérité la plus éclatante ? Quelle est cette frustration si ce n’est celle de pouvoir se ballader dans un jardin qui n’est finalement pas le sien ?