Je vais quand même dire deux mots, sur ce site où on a rameuté les debunkers de tout poil, parce que la vérité s’approche de jour en jour, et qu’il faut sauver les meubles.
Un des avions a été mesuré à 944 km/h au moment de l’impact.
Il ne volait pas en piqué mais en vol horizontal.
La puissance des moteurs est tout simplement insuffisante pour amener un boeing au niveau de la mer à une telle vitesse, qu’il ne peut atteindre qu’en altitude, lorsque l’air est raréfié.
Au niveau de la mer, il serait impossible qu’il dépasse 5 ou 600km/h, faute de puissance.
Et d’ailleurs ses ailes aurait volé en éclat à 944 km/h, plus de 300 km/h au dessus de sa vitesse autorisée à cette altitude, où l’air est comme du béton à cette vitesse..
Ensuite ;
Vous vous disputez pour savoir si l’acier ramollit ou fond à 600, 800°C (pour certains, à la flamme d’un briquet, pour ainsi dire)..
C’est un débat stérile, puisque les fumées noires indiquent une combustion très imparfaite, et donc des températures qui n’excèdent pas 300°C, le kérozène ayant brûlé entièrement dans les premières secondes. Il n’est donc pas question que les poutrelles aient pu fondre.
Par contre, plus d’un mois après le crash, on relevait encore des températures de plus de 1000°C au ground zéro. Nanothermite ou nuke, il n’y a guère d’autre solution.
Mais le plus drôle est à venir : ici, à part quelques neuneus, tout le monde sait que ces tours ont subi une démolition contrôlée. Je dis bien tout le monde, même et surtout ceux qui nient le fake.
Les uns sont de bonne foi, comme Aleth, et les autres sont là pour s’assurer que tout le monde est bien enfumé.
Aussi, personne n’apprendra rien ici ; ceux qui veulent savoir s’informeront ailleurs.