C’est tellement répétitif, les impostures gynarques, que c’en est presque pas lassant.
Les mouslims c’est eux, et les koufars c’est nous, mais quand même, nous aussi pouvons bien servir de boucs émissaires.
Désireuse d’imposer sa gynarchie et son homosexualisme, en aucun
cas Alina Reyes ne songera à protéger les victimes de la guerre sexiste
telle qu’elle est pratiquée par les tribunaux que nous finançons avec
nos impôts. A la place elle nous accuse de son « patriarcat abhorré ».
Ne rêvez pas, à nous révéler l’histoire des « cagots », mot que je ne
connaissais que par Rabelais, Alina Reyes continue d’être pour les
exclusions, à condition que ce soit sans risques et à la mode, donc
contre ces infects témoins gênants, ces mâles hétérosexuels, ces « punaises masculinistes » d’où vient tout le mal.
En Alina Reyes comme en toute féminazie, la femme incarne le bien,
l’homme hétérosexuel incarne le mal. En Alina Reyes comme en toute
féminazie, « Nous les femmes on est toutes des victimes, et eux les hommes sont tous des bourreaux, des retardataires et adeptes d’Al Quaeda ».
Ce qui dans les tribunaux se traduit concrètement en « Nous les femmes on est toutes des victimes, alors nous les femmes il faut toutes qu’on se venge, et nous les femmes on a bien le droit de tuer, de voler, de calomnier en toute impunité et portées en triomphe par le tribunal, il faut toutes qu’on se venge ! ».
Car il est absolument exclu que la République soit autorisée à garantir
l’égalité. Il ferait beau voir que les hommes se prétendent les égaux
de nous les femmes ! Les gynarques qui nous gouvernent au gouvernement savent y veiller :
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