@Ben Schott
Vous savez, si ça ne vous convient pas comme ça, je peux en remettre une couche, et vous parler aussi assez longuement de ce que deviennent les millions d’euros versés par le contribuable français à une Autorité palestinienne qui remplit avec ça les poches de ses affidés, et enrichit en premier lieu, démesurément, le fils de la vieille ganache en poste à Ramallah. En tant que Français, je n’apprécie guère d’engraisser ces sortes de potentats pour qui la misère du peuple, qu’ils contribuent à pérenniser, est la dernière de leurs préoccupations.
Les arabes palestiniens, effectivement, auront envahi très tardivement une région où la Civilisation se serait aisément passée de leur présence obscurantiste. Le « peuple palestinien », tous les historiens le savent, n’existe pas avant 1967. Vous n’en trouverez nulle mention dans les journaux d’après la guerre. La formule, qui aura perduré chez les gens qui sont totalement dépourvus de mémoire autant que de culture historique, est une invention de la propagande soviétique après la guerre des six jours.
Par conséquent, aucune paix ne sera jamais possible avec les « Palestiniens ». Ils espèrent être un jour en mesure de foutre à la mer tous les Israéliens actuels pour occuper la place. En quoi ils se mettent le doigt dans l’oeil jusqu’au coude, comme tout l’islam actuel, du reste : pour abattre une civilisation aussi complexe et sophistiquée que celle qui se sera développée depuis deux siècles, de San Francisco à la baie de Tokyo en passant par l’Europe et par Jérusalem, il faudrait au moins être parvenu à une sorte de parité. Or, pendant que notre civilisation continue, malgré les crises, de progresser à grands pas, le monde islamique en perte de vitesse dès le XVIe siècle, est en train de retourner tout doucement au VIIe. La guerre qu’ils prétendent mener, par la force des choses, ressemblera nécessairement à la bataille des Pyramides en 1798. Un beau désastre-éclair pour les mamelouks !