@alinea
Les pires garants et défenseurs de « l’ordre établi » sont celles et ceux qui croient (ou font semblant de) le combattre par de la rhétorique sans consistance et qui n’engage à rien.
De quelle Vérité (révélée) peut bien tenir cette assertion tombée des nues : « toute idée est un impossible » ; ou encore : « de là à l’action, un cheveu, infranchissable. »
Par contre, là où vous communiquez un témoignage probable de votre propre conviction :
’Nous restons [...] des pleutres d’occasion, car on n’agit
qu’avec l’espoir d’une réussite.’
Si ce témoignage est sincère, il peut alors montrer une piste de soin envisageable. Car la priorité ne serait plus de combattre (comme Don Quichotte ?) une « vapeur infernale » ... mais bien plutôt nos propre lâchetés, démissions, abandons d’espoirs !
L’auteur publie : « Rendre la parole au peuple est une bonne idée, mais où la prendra-t-il, cette parole ? »
Or, tous les auditeurs de ce site savent bien qu’ils peuvent publier ici, devant le monde entier, et sans limite ! ...
Par contre, ce que les faux démocrates refusent de voir, dans la piste de « cahiers de doléances modernes » qu’ils veulent activement ne pas examiner de plus près, c’est que pour que la parole de chacun acquière un vrai Pouvoir politique, il faut (et il suffit) que chacun la soupèse pour ne pas noyer la parole d’autrui sous une inefficace logorrhée personnelle et égotique ou égocentrique.
(D’où l’idée de distinguer communications personnelles libres et communications personnelles officielles et soumises à pondérations officielles par autrui ...)
Après la « parole du peuple » émane de considérations mathématiques ( statistiques, dont "loi du jury de Condorcet )