Puisque la question de l’autorité est réglée, elle appartient à Dieu, reste le problème de l’obéissance : a quelle autorité Obéir
4:59. Ô les croyants ! Obéissez à Allah, et obéissez au Messager et à ceux d’entre vous qui détiennent le commandement.
Là aussi les choses sont clairs, la première obéissance est du à Dieu, la seconde au Messager et seulement en trois à ceux qui détiennent le commandement.
Qui sont ceux qui détiennent le commandement : on va régler le problème vite fait avec les femmes. Puisque les femmes forment la moitié des croyants, et que les femmes sont sous l’autorité des hommes, ceux qui détiennent le commandement sont leur maris. Un femme n’obéit pas roi, une femme obéit à son mari. A ce stade le problème est réglé pour la moitié de l’humanité et nous allons voir qu’en réglant à moitié ce problème nous le réglons en totalité.
Parce que la femme, s’il elle obéit à son mari, doit obéir à des cercles plus vastes de l’autorité, mais comment saura-t-elle alors qu’elles sont ceux qui détiennent le commandement ? Et bien elle demandera à son mari qui lui dira. Que faut-il conclure de cela ? c’est que pour la femme, c’est à dire pour la moitié de l’humanité, c’est le mari qui dit qui sont ceux qui détiennent le commandement.
Et nous trouvons ici la source du pouvoir en Islam. Le pouvoir en Islam repose sur la possibilité, pour les hommes (les maris) de dirent qui détient le commandement. C’est l’allégeance, un homme qui en reconnait un autre comme détenant le commandement.
Mais attention, cet autre ne peut pas être AL-Bagdadi. Pourquoi ? Il faut que celui qui détient le commandement soit d’entre vous.