Merci à tiptop &, probablement aussi, à son métissage culturel en partage.
Article intéressant même si la « patte » universitaire y est très présente, ce qui, pour le bac-3 que je suis, pose un peu problème face aux outils conceptuels manipulés. (je suis plus à l’aise avec une truelle & un marteau !)
Toutefois, le « manuel » que je suis a relevé une facheuse erreur dans votre savant exposé : "Daesh a parfaitement compris les tensions identitaires françaises et
joue sur du velours car le complexe politico-médiatique plongée dans la
terreur devient une formidable caisse de résonnance de nos
contradictions.« (. . .)
Daesh/ISIS/EIL et ex AQI (Al Qaîda en Irak) ne comprend rien à cela, mais ceux qui s’en servent comme bélier, afin de détruire les quelques nations arabes pratiquant une forme de laïcité, et pour »planter la zizanie« au sein de la seule nation occidentale s’en prévalant, eux l’ont très bien compris, trop bien même, a se demander si il n’y a pas des spécialistes français parmi eux.
J’espère qu’il ne vous a pas échappé que la France, vu son histoire socio-culturelle et juridique, a droit a une attention toute particulière de la part des égorgeurs et autres wahhabites, compte tenu du nombre de victimes qu’elle subi.
(. . .) »à l’heure où des idiots bien utiles comme Zemmour épouse cette vision
manichéenne de guerre de civilisations rendant impossible toute
cohabitation,« (. . .)
Condamné plusieurs fois pour propos racistes et discriminatoires, ce pseudo journaliste a encore tribune ouverte dans la plupart des merdias et continue de propager son discours incendiaire, idiot utile ? Peut être, mais certainement moins idiot que la chair à canon française expédiée en Syrie, il est vrai toutefois qu’il se sert aussi du terrorisme wahhabite, qu’il appelle »islam", pour, au plan national, jeter l’opprobre sur les français musulmans : (...) l’islam les appelle
mauvais musulmans. » Le 6 septembre, dans C à vous (France 5).
Et cela se passe après que ses coreligionnaires BHL et L. Fabius se soient illustrés dans la « gestion » de l’international . . .