"trouver le bon équilibre en matière de contrôle afin de ne pas tomber
dans des excès qui remettrait en cause notre liberté d’expression et
d’action ainsi que notre autonomie face à un Etat tout puissant ou même
face à des sociétés commerciales utilisant ces données pour discriminer
des personnes«
Sans compter que la pire des inquiétudes à avoir est d’une tout autre nature : philosophique et existentielle.
Pour faire court, rappelons cette remarque de l’article Wikipédia traitant du »transhumanisme" :
Les transhumanistes pensent que les biotechnologies, nanotechnologies, et d’autres technologies rendront possible une nouvelle forme d’Humanité qui, paradoxalement, sera composée d’autre chose que des humains.
La transplantation des identités humaines dans des superordinateurs
(ou, symétriquement, l’intégration de facultés artificielles
surdéveloppées dans des corps humains) impacterait à la fois les
domaines culturels, créatifs et décisionnels.
On sait par ailleurs que, factuellement, au moins une société comme Google investit des sommes, compétences, et moyens considérables en recherche et développement concernant un objectif de prolongation de la vie humaine.
Si l’on ajoute à cette remarque que des illuminés de haut vol visent à une transmutation de la vie (de toutes les vies) humaine sous une forme numérique (pour l’immortaliser dans l’espace-temps au-delà du crash prévu entre notre voie lactée et Andromède) ...