• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


Commentaire de baleti

sur Bulgarie : odieuse loi anti-Dark Vador !


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

baleti baleti 3 octobre 2016 19:09

@alainmarc


c’est toi le crétin, la base de la finance islamique,n’est pas que le prêteur ne gagne rien, mais qu’il soit aussi responsable que toi dans un investissement .
en plus d’un crétin, tu dois être un imbécile de radin, qui est aller se renseigner, croyant qu’on allais lui prêter sans contrepartie.
l’essentiel de la banque islamique, est pour les entrepreneur qui investisse dans des projets, ou sa rentabilité, n’est pas certaine.
le banquier te prête, mais il s’associe dans les gains ET LES PERTES, d’ou la vrai justice et équité.
de nos jour le banquier te prête, pour créer, tu rembourse les intérêt en premier, et si un jours sa va mal, il te prend tous.

il y a bien sur des renards
Une position partagée par le philosophe et islamologue Tariq Ramadan pour qui les promoteurs de cette finance religieusement correcte « ne font en réalité que remplacer le langage financier classique par une terminologie spécifique, on change les noms, mais on fait la même chose ». « L’approche, dit Tariq Ramadan, est trop utilitariste, et sa dimension éthique reste marginale. »

mais dans la VRAI finance islamique

La finance islamique est basée sur les principes de la loi islamique qui imposent justice, équité et transparence1. La finance islamique se distingue des pratiques financières conventionnelles par une conception différente de la valeur du capital et du travail. Ainsi, ces pratiques mettent en avant l’éthique et la morale et puisent leurs sources dans la révélation divine et dans la sunna(« tradition prophétique ») tout en s’inspirant des pratiques économiques et financières à l’époque du prophète Mahomet.

La finance islamique, en accord avec le droit musulman selon de nombreux jurisconsultes et théologiens, est notamment basée sur l’interdiction de l’intérêt et la responsabilité sociale de l’investissement. Elle lie plus étroitement la rentabilité financière d’un investissement avec les résultats du projet concret associé. L’islam interdit les transactions tant civiles que commerciales faisant recours à l’intérêt (ribâ) ou à la spéculation (maysir).


d’ou mon intervention, la réel finance islamique a été décapiter, a sa naissance .

la seul réel banque islamique a vue le jours, au soudan, (fin des année 80, de tète )

c’est pas de labas qu’est né le terrorisme islamique, al kaida ?


une finance ou l’intérêt est la spéculation sont interdite, peu changer la donne mondial.



PS : je crois que c’est toi qui vient faire de la propagande
Répondre Signaler un abus

Voir ce commentaire dans son contexte


Derniers commentaires




Palmarès