@orianeborja
Au lieu de pleurnicher, vous feriez mieux de faire connaître la source de nos ennuis : « Les GOPé, les Grandes Orientations de Politique économiques »
"On l’aura compris, aucune de ces mesures visant prétendument à la
réduction du déficit budgétaire et à la relance économique n’aura
l’effet escompté.
Non seulement parce que vouloir baisser les dépenses publiques est
une absurdité en période de stagnation économique, mais parce que ces
mesures ne peuvent régler en rien le problème n°1 de compétitivité de la
France : l’euro [13].
Les inspirateurs de ces mesures n’étant pas stupides, ils ne se font
d’ailleurs sans doute aucune illusion sur leur inefficacité pour réduire
le déficit budgétaire et relancer la croissance. Leurs objectifs ne
sont pas là. Ce qui est en réalité visé, c’est à la fois de démanteler
les États nations et de détruire tous les acquis sociaux obtenus par les
peuples européens depuis la fin de la Deuxième Guerre mondiale.
Pour la France, ce programme voulu par l’oligarchie passe par la
suppression des départements et des communes, une décentralisation de
plus en plus poussée, la mise en pièces de notre système social et la
disparition de nos services publics.
En bref, la disparition par étapes de la République française
et la destruction complète du programme du Conseil national de la
Résistance [14].
Tout cela résulte de la logique même de l’euro et de l’Union
européenne. Il s’agit bel et bien d’une guerre livrée au peuple français
et qui leur impose ce double anéantissement, qu’ils votent « à gauche »
ou « à droite ».
À situation inédite, solution inédite. Si les Français
veulent sortir victorieux de cette guerre, ils doivent se rassembler
pour faire sortir au plus vite la France de l’UE et de l’euro, solution
que l’Union Populaire Républicaine (UPR) est la seule à proposer. [15] "
Vous proposer quoi ? Rien, merci d’être passée sur Agoravox !
Oriane Borja, qui ne remet en cause ni la construction européenne, ni la domination US, qui ne propose aucune solution politique, regarde le doigt quand on lui montre la lune, Bruxelles, la BCE et Washington...