@quijote
« Vous annoncez »paranoïa ». J’hésite personnellement entre cette cause-ci et celle de la stratégie volontaire et assumée, destinée à faire peser une chape de plomb permanente sur la société française«
C’est une question importante que tu souleves. Ce terrorisme intellectuel et moral que fait subir la communauté juive dès qu’elle en a le pouvoir n’est, selon moi, pas volontaire dans le sens où tu l’entends. La communauté juive percoit le monde selon le filtre de sa propre psychologie (comme n’importe quelle communauté). Et les concepts clés de la psychologie juive, transmis de génération en génération sont ces 2 là : 1/la singularité du peuple juif 2/la conviction que les non-juifs n’attendent qu’une occasion pour les detruire
La singularité, le fait d’être des gens »spéciaux« , »à part« , voire »supérieurs« tire évidemment son origine de l’élection divine narrée par la Torah et est à mon sens la clé du succès global des juifs (croyants ou non car elle imprégne autant les religieux que les athées) et elle explique cette trop rare capacité à se remettre en question.
Parallelement, on a cette conviction que le reste du monde veut votre mort (qui ne date pas des événements de 39-45 mais qui a bien-sur été renforcée par cette période). Cette conviction fait que tout acte ou parole visant à »protéger" les juifs deviennent de la légitime défense (peu importe donc qu’ils s’agissent d’actes ou de paroles abusives ou malhonnetes).
Parler de stratégie volontaire ou non-volontaire n’a donc globalement pas vraiment de sens, car tu prends comme référence ta propre psychologie qui n’a pas les mêmes points de repère que la psychologie juive type.