@Spartacus
« Le CETA avec l’accès à de plus grands marchés »
Vous avez entièrement raison Spartacus, le CETA puis le TAFTA nous
amènera à nous aussi à des records inimaginables mais la majorité des français
n’en prennent pas conscience.
Regardons les gigantesques avantages de l’ARENA avec l’Amériqsue du sud
et plus particulièrement le Mexique.
Ce beau pays a même réussi à battre ses voisins du nord dans beaucoup de
domaines, par exemple, ils sont devenus le
1er pays au monde pour le % d’obésité de la population. Grâce à
l’Oncle Sion, ils ne meurent plus de faim ou de soif, ils ont des Mac Do
partout et la bienfaitrice Coca Cola apporte sa boisson à 15 cents dans les
grandes villes, à 10 cents dans les villes moyennes et à 5 cents dans les
campagnes.
Les labos pharmaceutiques fonctionnent comme jamais avec l’explosion des
ventes de médicaments contre le diabète, les maladies cardiovasculaires et j’en
passe. Merci l’ALENA.
http://www.futura-sciences.com/sante/actualites/medecine-bref-obesite-mexique-bat-etats-unis-47700/
Dix ans après la mise en place
de L’ALENA signé (Accord de libre-échange nord-américain) entre les
Etats-Unis, le Canada et le Mexique, plus
d’un
million et demi de fermiers mexicains ont fait faillite parce qu’ils n’étaient pas en mesure de rivaliser avec le
maïs subventionné et OGM américain qui entrait sur le marché mexicain. En
matière d’agriculture, ces accords commerciaux ont provoqué le déplacement de dizaines de millions de petits fermiers,
contraints à l’immigration ou la misère des bidon-villes. La destruction des
économies alimentaires locales a entraîné une forte hausse des prix (plus de
100%) jusqu’à provoquer la « crise de la tortilla » et ses émeutes de la faim en 2007. Vingt
ans après la signature des accords, le Mexique est passé d’un pays autosuffisant produisant l’intégralité de son maïs à un pays importateur maintenant au moins
le quart de cet aliment de base, et 40% de son alimentation, depuis les
Etats-Unis. https://blogs.mediapart.fr/benjamin-sourice/blog/140813/accords-de-libre-echange-et-ogm-quand-monsanto-dicte-sa-loi