« Mais aux USA, concernant les noirs qui sont là quasiment depuis les origines, »
Il me semble que c’est la population amérindienne qui est originaire d’Amérique.
Quant au reste de votre article, je suis plutôt d’accord avec vous.La situation mondiale changera quand les populations se responsabiliseront et refuseront de marcher en file indienne ou dispersée derrière des gens déséquilibrés qui ne se sentent vivre que lorsqu’il peuvent imposer leurs dictats.
A mon humble avis, le monde n’appartient à personne en particulier.Et sa « gestion » ne revient pas à une assemblée d’ écervelés,maniaques et délirants.Et il appartient à chacun de s’auto-gérer selon une éthique bien définie et généralement acceptée.
Les événements en Belgique et en Espagne ont prouvé qu’un territoire-nation- peut absolument vivre paisiblement sans gouvernement.Mais par contre, des déséquilibrés mentaux ne peuvent pas vivre sans gouvernement.Car ils sont obsédés à l’idée de ne pas pouvoir influencer les autres et les mener selon leur bon vouloir.
Apparemment, cette évidence n’a toujours pas été comprise et intégrée par la masse.
La seule bonne nouvelle que j’ai relevée dans ces jeux du cirque électoral, a été la révélation de la criminalité de madame Clinton, une psychotique notoire.
Certes, monsieur Trump ne fait pas partie de cette « élite » invitée au Bilderberg et aux dîners mondains satanistes parce qu’il n’ appartient pas au clan restreint de ces déséquilibrés mentaux.
Mais il ne faut pas oublier qu’il est soutenu aussi par d’autres intérêts qui n’ont absolument rien de commun avec ceux de la population américaine, soucieuse d’avoir un toit sur la tête, et trouver quelque chose pour garnir son assiette et d’assurer son hygiène de vie. A en croire ceux qui n’ont pas ces soucis d’intendance, ces attentes sont trop luxueuses et irréalisables.Accorder la normalité à l’ensemble d’une population serait remettre en question leur influence, ce qu’ils n’envisagent pas une seconde.
Cette mascarade électorale-partout dans le monde- ne reflète qu’une seule : un combat de clans, se situant à des années-lumière des exigences majoritaire de la population : une vie paisible dans une société apaisée.
Ce n’ est -hélas- pas encore à l’ordre du jour aux Etats-Unis car ce n’est pas monsieur Trump, ni ses conseillers qui remettront la perversité de la société de consommation-un pur délire- en question. Apparemment, aucun autre ailleurs non plus.