Le français est une langue pourrie, dont la grammaire et l’orthographe ont été mis en places par des précieuses ridicules qui ont tenter de singer l’Italien. Dans le contexte de la globalisation, cette langue d’aristo est un désavantage terrible pour la compétitivité du pays.
Le temps consacré à l’apprentissage de ce ramassis d’exceptions alambiquées empiète considérablement sur les autres matières (math, physique, Histoire, biologie, etc), et prive définitivement d’une capacité d’expression claire un grand nombre de personnes. Apprendre le français : ce n’est pas intéressant, et ça prend beaucoup trop de temps.
Une réforme du français à la guillotine est plus nécessaire que jamais.
Une bonne manière de faire pourrait-être de reconnecter le français académique avec le français parlé. Remplacer l’approche normative par une approche empirique (un peu comme l’avait fait Queneau en son temps).