Salut..un des nombreux effets naturels et logique, inévitable, prévisible d’un monde basé sur la compétition mot qui cache derrière lui une élimination, donc la guerre d tous contre tous...un monde qui n’a jamais eu pour but la paix bien sur, ni de fabriquer de la nourriture pour tous, ni un logement adéquate, ni des vêtements, ni évidemment de donner du travail à tous selon compétences, goûts et besoins locaux , ni de créer un monde extérieur harmonieux, ni de soigner etc etc
il a pour seul but de créer une société pyramidale x ou il est possible de voler facilement..et cela est de + en + facile grâce a l’argent et aux habituelles violences et propagande auxquelles ne croit que celui qui le veut, nul n’oblige personne a être idiot, c’est une vocation, que dis je un sacerdoce, une mission que d’être idiot, un choix absolu..une destinée volontariste, un suicide mental, ..nul ne naît idiot, on le devient a force de travail et de sacrifice dont celui de sa propre vie.. !!
comme d’habitude cela ne va pas remonter à un seul neurone, mais j’ai l’habitude...depuis 40 ans..ou je vois la stupeur quand je parle de cela...si toutefois cela crée même une seule réaction, comme de parler latin à une chèvre..
personne ,sauf rares exceptions , ne comprends cela, qui est pourtant trés superficiel....alors pour ce qui ne l’est pas pensez donc 
accepter la competition qui élimine c’est adorer sans rien y comprendre du tout les causes dont on déteste les effets..ceci est emprunté à Étienne de La Boétie..et modifié
Mon ami Étienne qui a aussi écrit
- Les théâtres, les jeux, les farces, les spectacles, les gladiateurs, les
bêtes étranges, les médailles, les tableaux et autres telles
drogueries, c’étaient aux peuples anciens les appâts de la servitude, le
prix de leur liberté, les outils de la tyrannie. Ce moyen, cette
pratique, ces alléchements avaient les anciens tyrans, pour endormir
leurs sujets sous le joug. Ainsi les peuples, assotis, trouvent beaux
ces passe-temps, amusés d’un vain plaisir, qui leur passait devant les
yeux, s’accoutumaient à servir aussi niaisement, mais plus mal, que les
petits enfants qui, pour voir les luisantes images des livres enluminés,
apprennent à lire.