@pemile
blablabla, blablabla, blablabla
et pour finir, blablabla
« ce test donnait une valeur inférieure de 50% aux normes »
Une valeur de quoi ? Nous, les scientifiques, nous avons la fâcheuse habitude de bien définir les valeurs et ce qu’elles signifient avant d’en parler. Dans certains cas, la variation de 50% d’un paramètre n’a aucun effet. Autour de la norme, il y a la notion de tolérance, qui peut être plus ou moins grande suivant le cas.
Avez vous vu la « calotte inférieure d’un GV », comme vous dites. Regardez le dessein d’un GV et retrouvez moi cette « calotte inférieure ».
Ensuite, vous parlez d’un test qui montrait la « fragilité aux changements brutaux de température ». Connaissez vous, à part le légendaire nitrill, un métal qui ne soit pas fragilisé par les changements brutaux de température, et lesquels ?
Ce qui importe, c’est la capacité du métal à encaisser ces chocs thermiques. Et à ce titre, les tests de résilience mécanique remis en cause par Chevet n’ont strictement rien à voir d’une part. Et d’autre part la migration d’un peu de carbone à un endroit pendant le forgeage pour passer de 0.19% à 0.22% en teneur ne change rien à la tenue mécanique. C’est ce que les Chinois ont répondu à Chevet. Mais nous sommes en France, et ce pourri a tous les droits à cause de la politique politicienne. Il a exigé 1600 nouveaux tests, ce qui prendra deux ans.
Je sais que vous avez fait vos études scientifiques au Canard Enchaîné et à Médiapart, mais je vous invite à les poursuivre car ce n’est pas suffisant.