« à malheur quelque chose est bon »
La bonne nouvelle est que celles et ceux qui visent à noyer dans la masse (dans un chiffre unique : une moyenne bien simplette) n’ont en fait contribué qu’à l’inverse.
Le langage populaire l’exprime par cette expression vulgaire (Du latin vulgaris, de vulgus, « foule, commun des hommes », « multitude ») :
’Les baisés, comptez-vous !’
Ainsi on sait à la fois que :
- moins de 10% des Français-Françaises espèrent ’baiser’ - démocratiquement à leurs dire- plus de 90% de leurs frères-compatriote.
- et que ces 10% sont essentiellement composés des plus âgés (retraités ou rentiers donc ’assistés’ en chef) et des mieux nantis !
( Pour ce qui est de la jeunesse qu’ils ont pu soudoyer pour faire illusion ’à la TV’ , rappelons ces mots de la sagesse d’antan :
LE VIEUX CHAT ET LA JEUNE SOURIS par Jean de La Fontaine :
- La jeunesse se flatte, et croit tout obtenir ;
La vieillesse est impitoyable.
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En fait, nos aînés qui croient masquer leur angoisse de fin de vie par la dénonciation d’une ’peur’ (indistincte) diagnostiquée chez les déclassés, ne succombent à la promesse de dictature que par calcul et par un épicurisme qui s’ignore :
« Hâtons-nous de succomber à la tentation avant qu’elle ne s’éloigne »
C’est leur jeu : ils ont abattu leurs cartes ! Mais ils succomberont tôt ou tard quoiqu’il advienne.
Les autres 90% joueront-ils dans la même perspective ?