@cevennevive
Bonjour Cevennevive,
Rassurez-vous, ce n’est pas une question d’être comprise ou non ! C’est juste une question d’honnêteté intellectuelle, la leur n’intègrant pas la « remise en question » ou le « méa culpa »
Et ce qui est assez éloquent finalement, c’est le manque de lucidité des gens qui vous ne comprennent pas, car imaginer ne pas être dans l’obligation de revoir la masse salariale de la fonction publique est totalement irresponsable. Depuis 40 ans, sont votés systématiquement des budgets déficitaires sans UNE FOIS se poser la question d économie d’échelle. Et c’est encore plus irresponsable quand on sait pertinemment que nous endettons nos enfants, alors non satisfaits de ne leur laisser qu’une poubelle, nous rajouterons en plus une dette abyssale que nous creusons chaque année davantage, mais cela ces gens s’en fiche totalement...Après moi le déluge. Et comme ils sont persuadés (bêtement d’ailleurs) que l’on peut continuer à saccager le secteur marchand (qui financent leurs salaires) qui n’importe qui l’aura constaté, est aujourd’hui à l’agonie, ils restent alors dans leurs croyances puériles et absurdes, n’ayant comme références que les 40 entreprises du CAC qui ne représentent qu’une poussière sur les 1.2 millions d’entreprises en France. Ha si ! et puis stigmatiser des gens comme Arnaud, qui représente 1/65000000 de la population du pays. Quelle farce !!!
Peuvent t-ils une fois dans leur vie regarder ceux qui ont moins qu’eux !?!?
L’égoïsme a de beaux jours devant lui... mais ça vote à gauche !!! vous savez ça fait « bien » de voter à gauche, ça donne donne bonne mine à ces frustrés de la vie n’ayant que d’autres passion que de jalouser son voisin qui a plus que lui...
Cette politique hypocrite et clientéliste qui ne se plaît qu’à entretenir un clivage gauche/droite ne veut plus rien dire, qui divise, et que voir depuis qqes jours autant d’articles sur la victoire de Fillon et surtout leur contenu fait que nous ne sommes pas sortis de l’auberge
Pauvre monde, cette misère intellectuelle est pire que celle que l’on voit dans la rue car la première engendre la deuxième...