@Alren
Je peux explicité l’idée.
Actuellement il y a assez peu de lien entre le marché du travail et les diplômes, on ne peut que constater des centaines de millier de jeunes qui ont des licences de droit ou d’histoire, ou pire des doctorants en Biologie ou autre qui ne peuvent strictement rien faire de ces diplômes.
Le numerus clausus des médecins est prit comme exemple, car il soufre de défaut et son nombre trop faible impose une importation de médecin de l’étrangé qui n’ont pas cette limitation.
Je pense que tout les diplômes devraient être limité, ne serait-ce que par les capacités d’accueil, le niveau et le prix c’est déjà le cas, mais il faudrait faire le lien avec le marché du travail, pour éviter d’avoir des diplômes inutilisable.
Pour cela il y a une solution simple, impliquer financièrement les entreprises dans les centres de formations, tout comme le system des cota d’handicapé, si ils recrutent en CDI des jeunes diplômé moins d’un an après leur sorti de l’école, ils ne serait pas obligé de payer et si ils prennent des stagiaires ça réduirait leur frais, sinon ils auraient le choix de l’école ou du diplôme qu’ils financeraient.
Il faudrait évidement être vigilant sur une pseudo privatisation des formations.
@leypanou
Merci pour le lien Fakir, je suis malheureusement bien placé pour le savoir, ma boite touche le CIR et nous annonçons une restructuration qui va mettre 70 personnes sur le carreau et nous avons pourtant des bénéfices et du capital propre assez important.