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Commentaire de Mordicul

sur Lorsque Fidel assure sa propre défense


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Mordicul 1er décembre 2016 11:44

Il est assez réducteur de vouloir absolument être pour ou contre la politique de tel ou tel personnage de la scène public mondiale ; personne ne peut être tout blanc ou tout noir quand il choisi le chemin de la politique, qu’il soit révolutionnaire ou pas.
Fidel Castro ne déroge pas à cette règle comme d’autre. Sans doute que sa soif de justice pour son peuple la mené à des extrêmes difficilement pardonnables mais il est assez crasseux de voir avec quel culot des individus politiques jettent leur bile accusatrice sur un homme qui sans doute du côté blanc de la chose à fait mille fois plus pour son peuple que ses accusateurs nantis du continent des incontinent .
Ces petits pisseux des différents états qui, dans l’ombre feutré de leur petit bureau, manigancent et prennent des décisions qui tuerons des milliers de personnes à l’autre bout de la terre sans souffrir d’une quelconque culpabilité.
Il est sur que fait de cette manière, ces hommes et ces femmes sont rarement inquiétés d’être un jour affublés du titre de dictateur alors même que leurs hauts faits les accuse. C’est juste l’ignorance des uns et des autres et surtout leur acceptation qui fait que ces hommes et ces femmes d’état bénéficie d’une notoriété confortable.
Le débat du pour ou du contre n’est qu’une sclérose de l’esprit car la réalité se gausse de ces futilités qui appartiennent aux Hommes qui ne savent penser qu’à travers les idéologies d’une caste de sophistes de tout bord dont la formation de marionnettiste est évidente tant les lobotomisé de tout age se bouscule au portail pour avoir enfin les ficelles attachés à leurs membres pour avoir l’impression d’existé dans cette danse macabre de mort vivant qui ne savent même plus sentir l’odeur des cadavres que répandent leurs idéaux nauséabonds.

Fidel Castro à fait ce qu’il pensait devoir faire selon ce qu’il était dans le contexte qui était le sien et il n’est je pense ni meilleur ni pire que les lâches de nos différents états qui tuent par procuration bien planqués dans leurs alcôves douillettes à siroter du champagne en comptant les dividendes que cela va leur rapporté.

Le débat de Castro est un faux débat qui ne fait que montrer une forme particulière d’une dictature moins sophistiqué que celle que nous subissons chaque jour de la part d’un système plus gigantesque et destructeurs qui s’auto-congratule du nombre de ses adhérents décérébrés.

Tenu par des bouchers, le monde est devenu une boucherie à ciel ouvert ou les mouches sur la viande se comptent par milliards.


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