Allons allons, tous cela n’est pas si grave. Le problème c’est l’info. SI une famille sur deux à recours au privé pour l’un ou l’autre de ses enfants à un moment ou un autre de leur scolarité, ils sont encore trop nombreux à ignorer que c’est un recours possible, souhaitable et surtout économique..
Selon le tableau de bord publié par la Fnogec, la participation annuelle
des familles s’élève, hors restauration, à 287 euros pour un écolier,
410 euros pour un collégien et 621 euros pour un lycéen. Il s’agit bien
entendu de moyennes, car les écarts de frais d’inscription sont
considérables. De quelques dizaines d’euros pour une petite école
primaire à plus de 1 500 euros pour certaines institutions prestigieuses
de centre-ville.
300 euros par ans pour être sur que son gosse sachent lire et compter ? est ce vraiment inabordable ? EN plus, le privé coute moins cher au contribuable et les résultats sont meilleurs.
Bine sur , il reste le problème que les syndicats aient fixé un quota, pas plus de 20% de privé. On les comprends. Qui leur resterait il sinon ? Mais il y a des trucs...
renseignez vous...
Qui plus est, dans les petites classes ou les collectivités peuvent participer au financement, même les élus de gauche payent. D’abord, il sont eux même des enfants, ensuite, ils ont des électeurs...
A terme, le plafond de verre éclatera et l’État financera « l’école privée pour tous ». Un grand avenir d’égalité des chances s’ouvrira devant nos enfants.
Vous me direz, on leur impose les mêmes stupidités qu’aux autres. C’est vrai, mais chut...on se débrouille.... et les résultats sont quand même moins catastrophiques...