@alinea
Bonjour, Comme vous m’y poussez, je vais aller plus loin.
Depuis de longues années Un certaine gauche a soutenu envers et contre tout
Le régime Stalinien qui a fait 30 millions de morts
La Chine de Mao qui a fit 8O millions de morts
ont salué la victoire des Khmers rouges , fermant les yeux sur leurs massacres, leurs persécutions
ethniques et politiques
je vous en passe et des plus graves.
Tout cela au nom d’un communisme radical comme à Cuba
L’internationale communiste se devait de défendre ces régimes
Quand l’Histoire a rétabli la vérité, ils ont fait amende honorable mais très tard .
c’est ce qui se passera pour Le régime de Castro
déja quelques voix dissonantes osent s’exprimer, difficile, je viens d’en faire l’expérience
« Cuba, autoproclamée république socialiste à parti
unique, est le pire pays d’Amérique latine en matière de liberté
de la presse », estime RSF sur la
page web de son site consacrée à Cuba. « Le clan
Castro, au pouvoir depuis 1959, maintient un monopole de
l’information et ne tolère aucune voix indépendante. Arrestations
et détentions abusives, menaces, campagnes de dénigrement,
confiscations de matériel et fermeture de sites web sont les formes
les plus courantes d’un harcèlement omniprésent, renforcé par un
arsenal de lois restrictives. »
La Croix
L’embargo commercial infligé à Cuba est loin
d’être responsable de tous les maux du pays. Démonstration.
Selon un mythe tenace et savamment
entretenu, "l’embargo
commercial américain« (rebaptisé »blocus" par
Cuba) serait la principale cause des difficultés de la révolution.
Il n’en est rien. Comme en Union soviétique ou en République
démocratique allemande (RDA), le
fiasco économique cubain s’explique d’abord par l’inefficacité du
système marxiste-léniniste mis en oeuvre par Fidel
et Raúl
Castro. Il s’est traduit par la nationalisation de toute la vie
économique, y compris les coiffeurs et les marchands de glaces, et
par l’abolition du droit d’entreprendre.
L’Express 30
novembre