@Nicole Cheverney
J’aime bien votre réponse, qui commence par se plaindre
d’un insulteur pour finir par une insulte.
Non, votre
article n’est pas éclairant pour un lecteur lambda. C’est un tract, avec plein
de longueurs inutiles où l’on comprend qu’il y a des bons et des méchants. C’est
le style journalistique d’aujourd’hui : le tract où l’info, la vraie, est
partielle et ne sert qu’à alimenter un procès.
Sur le fond, je n’ai pas bien tout compris mais
c’est pas grave, car je n’y connais pas grand chose.
Comme j’ai
pas bien tout compris, je reste avec l’idée que la somme des remboursements de
soins de la Sécu est supérieure à la somme des cotisations (pour les soins) des
bénéficiaires (en y incluant le non perçu : fraudes …). Mais en excluant de
cette balance tout ce qui n’est pas soins (vieillesse, chômage …).
Je ne dis
pas que c’est mal, ce déficit, c’est juste une question de transferts de budgets
publics et de gestion des dettes. Mais ce serait sympa de savoir.
On va me dire
que faire la balance entre remboursements de soins et cotisations pour les
soins, c’est pas possible à établir, que c’est trop complexe, qu’on ne saura
jamais vraiment, tout comme les effectifs des ministères. Bon, mais alors pas
la peine d’écrire ce genre d’article.
Quant à
savoir qui soigne, public ou privé, c’est un autre sujet. Les médecins
installés, les médicaments, les appareils d’examen et d’analyses, les
labos, les cliniques privées, c’est déjà du privé. Pour une grande part, nous
sommes déjà soignés par le privé.
Autre
remarque : les Mutuelles, c’est pas forcément le diable (pas de dividendes
…). Les GMF, MACIF …, c’est pas mal du
tout.
NB : vive
la Sécu, sincèrement.