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Commentaire de DACH

sur En Syrie, la fête est finie pour les charlatans


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DACH 9 décembre 2016 11:34

@Oceane
Effectivement, vous êtes en plein dedans, et c’est une occasion de plus d’en sourire... Si vous vous placez dans le rôle d’ennemie des israéliens, on est très content au vu de votre méthode et de vos moyens. Pas de crédibilité aux yeux du plus grand nombre. Nous préférons les réactions affichées dans l’article qui suit.

« C’est notre pays et quand une roquette tombe, elle ne fait pas de différence entre les gens »

Chaque année, parfois en dépit des critiques de leur entourage et de leur communauté, une centaine de musulmans rejoignent les rangs l’armée israélienne (Tsahal).

C’est de manière volontaire que ces jeunes recrues décident de s’enrôler dans l’armée, la convocation au service militaire n’étant pas obligatoire pour les arabes israéliens.

« J’ai décidé de m’enrôler parce que je suis originaire d’ici, que j’aime ce pays, et que je veux y contribuer. Je veux faire partie de ce pays. Tous ceux qui vivent ici devraient s’enrôler », a affirmé le Sergeant Yusef Salutta, soldat musulman de l’armée israélienne.

Effectuer le service militaire, comme la très grande majorité des citoyens juifs de l’État hébreu, représente, en plus du devoir civique, un véritable vecteur d’intégration sociale de ces jeunes dans la société israélienne.

« Beaucoup de jeunes arabes israéliens pensent que des portes s’ouvrent dans la vie civile grâce à un service militaire », a souligné le Colonel Wajdi Sarhan, directeur de l’unité des minorités de l’armée israélienne.

« Aujourd’hui, tout est devenu compliqué – logement, travail, même prendre l’avion. Tout ça peut devenir plus simple quand on a une carte d’identité de soldat israélien ou de réserviste. Ils comprennent que c’est un certificat d’identité qui peut les aider à s’intégrer », a-t-il précisé.

La communauté arabe israélienne reste cependant encore largement divisée sur la question de l’enrôlement militaire.

Aux antipodes de ces volontaires musulmans qui ont choisi de servir leur pays, une frange minime continue toutefois de s’opposer à l’existence même d’Israël.

« Ce phénomène, nous le rejetons totalement, pour toutes les raisons possibles, nous le rejetons », a déclaré le député de la liste arabe unie, Ahmad Tibi.

« Une personne ne peut pas se joindre à une armée qui se bat contre son propre peuple. Qu’est-ce qui passe par l’esprit d’une personne quand il sert contre son peuple ? », a déploré Tibi.

Sur environ 30.000 jeunes par an qui atteignent l’âge de la majorité, seul une centaine rejoint les rangs de Tsahal.

« C’est notre pays et quand une roquette tombe, elle ne fait pas de différence entre les gens », avait déclaré Salah Halil, combattant musulman de Tsahal, lors d’un reportage en juin par i24News.


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